Workaholisme

poids à leurs employés, aux sous-traitants, aux pays du Sud, [...], mais par dessus tout, à la nature, devenue à la fois pourvoyeuse de ressources et poubelle. A la boulimie consommatrice des accros de supermarchés et de grands magasins répond le workaholism, l'addiction au travail des cadres, alimenté, le cas échéant, par une surconsommation d'antidépresseurs et même, selon des enquêtes anglaises, par la consommation de cocaïne pour les cadres supérieurs qui veulent ''être à la hauteur''. Nous avons

Drogue psychédélique Conduites addictives Dépendance • Accoutumance • Alcoolisme • Binge drinking • Toxicomanie • Héroïnomanie • Tabagisme • Dépendance aux médicaments • Dépendance au sucre Dépendances comportementales Jeu pathologique • Workaholisme, ergomanie • Achat compulsif • Troubles des conduites alimentaires • Dépendance au jeu vidéo • Addiction ou dépendance sexuelle •Dépendance à la pornographie • Dépendance à Internet • Trouble du contrôle des impulsions Traitement des addictions

• Drogue psychédélique Conduites addictives Dépendance • Accoutumance • Alcoolisme • Binge drinking • Toxicomanie • Héroïnomanie • Tabagisme • Dépendance aux médicaments • Dépendance au sucre Dépendances comportementales Jeu pathologique • Workaholisme, ergomanie • Achat compulsif • Troubles des conduites alimentaires • Dépendance au jeu vidéo • Addiction ou dépendance sexuelle • Dépendance à la pornographie • Dépendance à Internet • Trouble du contrôle des impulsions Traitement des addictions

Rapport annuel, p. 289-295. Disponible à l’adresse suivante : http://www.auditor.on.ca/fr/rapports_fr/fr06/402fr06.pdf Burgess, Z., R.J. Burke et F. Oberklaid (2006), « Workaholism Among Australian Psychologists: Gender Differences », Equal Opportunities International, vol. 25, n° 1, p. 48-59. Burke, R.J. (1999), « Workaholism in Organizations: Gender Differences », Sex Roles, vol. 41, n° 5/6, p. 333-345. Cardinal, L. (2004), Rétention du personnel clé: Diagnostic et intervention, Montréal, École

pesant ; j’avais l’impression d’être plus ou moins au boulot, sans pouvoir bénéficier d’une vraie coupure. Et sans que cette disponibilité soit reconnue, notamment financièrement, par une prime. » Les cadres souffriraient-ils de plus en plus de « workaholism » (être un « drogué du travail », selon l’expression anglophone) du fait de la multiplication des outils de communi- L La connexion permanente via les ordinateurs portables ou les smartphones augmente considérablement le stress des salariés

chapitre IV, 2), il faut être vigilent face aux dépendances sans « produit », comportementales : les techno-dépendances (à toute forme de technologie : outils de communication, téléphonie mobile, Internet, jeux vidéo), l’addiction au travail (« workaholisme »), la dépendance affective. • Afin d'appréhender au mieux les risques émergents il faut garder en tête le principe suivant : l'absence de classification ne vaut pas absence de danger. Instaurer une veille juridique permet par ailleurs de

». Pour chacun des items du questionnaire, la répartition entre les niveaux de réponse des auditeurs et des anciens auditeurs est présentée dans le tableau 5-31. 78 En particulier, il y a peut-être un lien entre l’engagement au travail et le workaholism, même si ce lien n’est pas direct (Scott et al. 1997). 285 Chapitre V – Résultats de la recherche quantitative – Section 3 Tableau 5-31 Perception du niveau de contrôle des cabinets (%) Auditeurs (anciens auditeurs) Tout à fait d’accord Plutôt

behavior, unhealthy habits, and ultimate pain in our lives stems from our inability to acknowledge and express our intense emotions. While there are many factors that lead to things such as alcoholism, overeating, infidelity, eating disorders, workaholism, depression, and even suicide or violent crimes, one of the main underlying reasons is that we don’t feel as though we’re allowed or able to express the real feelings we have, and therefore do damage to ourselves and others. Most recovering addicts