Xavier Forneret

(Paul Verlaine, « Romances sans paroles. Ariette oubliées III », p. 30) c. « Quelque chose en sa voix arrete, étreint, essouffle. d. Des âmes en douceur, s’épurent dans son souffle. » (Xavier Forneret, « Elle » // « Anthologie thématique de la poésie française », p. 33) e. « Elle doit surtout trouver les mots pour justifier l’injustifiable: la démission. » (« Enfants délinquants, parents condamnés. L’express

qui à mesure se dérobent” (Alain Robbe-Grillet, Les Derniers Jours de Corinthe, Paris, Minuit, 1994, p. 17). Citons, à titre d’exemple supplémentaire le cas de Régis Jauffret, qui, en 2007, a reçu deux prix littéraires (Prix de l’humour noir Xavier Forneret 2007; Prix France Culture-Télérama 2007) pour son roman Microfictions. Sa manière paradoxale de qualifier une série de ‘microfictions’ de roman et de choisir pour titre à ce ‘roman’ le nom d’un autre genre littéraire démontre une volonté de redéfinir

after the Revolution of 1830, controls were reimposed in 1835, relaxed again after 1848, but restored by the repressive Second Empire, which in the 1850s curbed colportage, imposed stamp duties on newspapers and prosecuted not only minor writers like Xavier de Montépin but also the Goncourts, Flaubert and Baudelaire. After a brief respite in 1870, the Third Republic reinstated prosecutions under the law of 1819 which was not repealed until new legislation in 1881 freed the press and henceforth made alleged

meurent de froid, de faim, ceux qui hantent les quartiers sordides de Paris, où on les retrouve parfois morts, comme Gérard de Nerval), les marginaux, les révoltés qui font peur: «bousingots», «frénétiques», «lycanthropes» (Philotée O'Neddy, Xavier Forneret, Pétrus Borel, Aloysius Bertrand, mais aussi Charles Nodier et Nerval). En marge de tout, ils sont vraiment la part noire du romantisme, celle que fascinent l'occultisme, le souvenir des illuministes du XVIIIe siècle, la nécromancie. Le Nécronomicon