Xinjiang

spatiaux : A l’est de la ligne Heihe / Tenchong (Yunnan) se concentre 90% de la population et 42 des 51 villes millionnaires. Les pronvinces côtières sont donc privilégiées. Si à l’ouest on peut trouver une urbanisation élevée (colonisation Han au Xinjiang par exemple), les régions les plus urbanisées se trouvent principalement à l’est : - il existe aujourd'hui sur le littoral cinq grandes régions urbaines avec des taux d'urbanisation compris entre 50 % et 60 % de la population : le delta

de tension alternent avec les périodes de détente. De fait, les points de frictions sont nombreux : ils concernent l’application des grands principes démocratiques (droits de l’homme en Chine, respect du statut de Hong Kong, répression chinoise au Xinjiang et au Tibet), ils sont d’ordre géostratégique (prolifération d’armement nucléaire et de missiles, question de Taiwan, projet américain de « bouclier anti-missiles »), ils sont enfin d’ordre économique (droits de propriété intellectuelle, artistique

évitent ou contournent les déserts, les hautes montagnes et les régions plus inhospitalières. L’un des principaux points de départ de la route de la soie était la capitale de la Chine. Les caravanes se dirigeaient vers le corridor du Gansu, puis le Xinjiang, régions situées entre le Tibet et la Mongolie. Parvenues dans les déserts d’Asie centrale, elles faisaient de longues haltes dans des oasis, villes et caravansérails où arrivaient d’autres colonnes de marchands venues d’Iran et du monde arabe.

précédent. L’ordre intérieur règne dans tout l’Empire. La dynastie atteint son apogée sous Kangxi (1662-1722), et surtout sous Qianlong (1736-1796). Les Chinois sont mieux traités. La Chine établit une solide influence sur la Mandchourie, la Mongolie, le Xinjiang et le Tibet. Le Népal subit à son tour le joug chinois. La Birmanie doit payer un tribut, tout comme les îles Ryukyu. La Corée et le nord du Viêt Nam reconnaissent la suzeraineté de la Chine, tandis que Taïwan est incorporé à l’Empire. La population

boisée (pin, chêne). Et cela sûrement car, dans leurs croyances, le rouge 41 (couleur) correspond au bonheur, à l’amour et à la chance. Les rouges secs représentent la plupart des ventes, suivis par les rouges doux (dont les célèbres muscats du Xinjiang. BIBLIOGRAPHIE http://www.suddefrance-developpement.com/fr/fichespays/chine/vin/introduction.html# http://www.mon-viti.com/content/qui-est-le-consommateur-chinois-de-vin http://www.lemoci.com/Chine/Acces-au-marche/011-47323-Chine.html http://www

Chine a vu avec une grande méfiance le démantèlement de l’Empire soviétique en Asie centrale. Par contagion l’accession à l’indépendance des cinq Etats musulmans de l’ex-URSS relancera les velléités indépendantistes des populations musulmanes du Xinjiang. Aussi, les deux premiers soucis de Pékin, afin de neutraliser dès le départ la sympathie pro-ouïghoure des nouveaux Etats indépendants, ont été d’une part de clore les contentieux sur l’ancienne frontière soviétique et, de l’autre, de renforcer

de tension alternent avec les périodes de détente. De fait, les points de frictions sont nombreux : ils concernent l’application des grands principes démocratiques (droits de l’homme en Chine, respect du statut de Hong Kong, répression chinoise au Xinjiang et au Tibet), ils sont d’ordre géostratégique (prolifération d’armement nucléaire et de missiles, question de Taiwan, projet américain de "bouclier anti-missiles »), ils sont enfin d’ordre économique (droits de propriété intellectuelle, artistique

» (Gipouloux [1998]). Au Centre et à l’Ouest de la Chine, les entreprises étatiques totalisent plus de 60 % de la production industrielle14 en 1996 (ceci est particulièrement vrai dans les régions du Shaanxi, Guizhou, Yunnan, Qinghai, Ningxia et Xinjiang). Ces entreprises sont souvent très polluantes, faiblement rentables, et isolées les unes des autres du fait du manque d’infrastructures de transport. En raison du fort degré d’intégration de ce type d’entreprise, le développement d’un tissu industriel

version politisée du mythe bouddhiste qui annonce la venue d’un sauveur par le Nord et en affirmant que celui-ci s’incarne en la personne du tsar russe, ils invitent leur pays à dominer l’ensemble du monde bouddhiste et les marges de la Chine (Tibet, Xinjiang, Mongolie, Mandchourie)70. L’appel en faveur d’une telle destinée asiatique sera bien évidemment poursuivi par les eurasistes, pour qui la Russie doit tout à la fois s’ouvrir sur ses possessions 67. V. I. Lamanskij, Ob istori©eskom izu©enii greko-slavjanskogo

stratégique que celui-ci représente tant en termes de distances, de diversités et de richesses naturelles. La Chine est très sensible à cet argument, et elle ne transige ni sur ses atterrages en mer de Chine ni sur ses marches orientales, tant au Xinjiang qu’au Tibet. Ces deux provinces, qui font partie de la Chine historique telle qu’elle a été officiellement reconnue depuis 1964, représentent en effet plus de 40 % du territoire chinois, une part non négligeable de ses ressources minières, et lui