Y A T Il Des Tyrans Heureux

négatif en ce qu’il implique l’arrêt, en créant une difficulté à laquelle il nous impose de nous confronter, mais positif aussi en ce qu’il suscite la réflexion et exige un détour, destiné à le dépasser pour nous permettre de progresser. Or il est évident que la matière fait souvent obstacle à notre liberté, comme autrui, ou encore la société, l’État, la morale, le droit, jusqu’à notre conscience en nous-mêmes. Qu’en est-il donc de la liberté, face à ces entraves : faut-il y voir un rêve impossible, s’il

ANALYTIQUE N° 7 : LA TIRADE DE DES GRIEUX Tiberge, repris-je, qu’il vous est aisé de vaincre, lorsqu’on n’oppose rien à vos armes ! Laissez-moi raisonner à mon tour. Pouvez-vous prétendre que ce que vous appelez le bonheur de la vertu soit exempt de peines, de traverses et d’inquiétudes? Quel nom donnerez-vous à la prison, aux croix, aux supplices et aux tortures des tyrans ? Direz-vous, comme font les mystiques, que ce qui tourmente le corps est un bonheur pour l’âme? Vous n’oseriez le dire ;

au-delà de la vie l'intérêt que la justice a pour nous. La date de sa composition correspond au moment où Platon renonce définitivement à la politique active à laquelle sa naissance l'appelait; il tient à justifier sa résolution, et c'est à ce dessein que répond le Gorgias . Situation: Socrate et Khairéphon se rendent chez Calliclés pour y entendre Gorgias. Ils arrivent après la séance (leçon de Gorgias). Néanmoins Calliclés les introduit auprès de Gorgias, à qui Socrate souhaite poser une question

philosophe, passe sa majeur partie de vie à Athène où il rencontre Socrate, philosophe athénien qui passait ses journées à l’agora. Socrate, prétendant ne rien savoir, n’a jamais rien écrit. Evoqué par Platon, Aristophane et Xénophon. Chez Platon, Socrate est un héro, chez Aristophane, c’est un chef de secte. Il aurait dit « Nul n’est méchant volontairement. » et aussi « Le corps est un tombeau. ». Socrate meurt exécuté, empoisonné, condamné à boire la ciguë. Condamné à mort pour corruption de la jeunesse

30) 2.2.2 Caligula est aimé par son entourage «Cet empereur était parfait.» (page 18) «Oui, ton absence a duré longtemps.» (page 24) «Je l’aime. Il était bon pour moi. Il m’encourageait» (page 30) «Je n’ai pas besoin de jurer, puisque je t’aime.» (page 42) 2.2 Empereur bienveillant envers les autres 2.3.3 Caligula constate que la vie n’est pas ce à quoi il s’attendait et que les gens sont malheureux «Les choses, telles qu’elles sont, ne me semblent pas satisfaisantes

en ce qu'il implique l'arrêt, en créant une difficulté à laquelle il nous impose de nous confronter, mais positif aussi en ce qu'il suscite la réflexion et exige un détour, destiné à le dépasser pour nous permettre de progresser. Or il est évident que la matière fait souvent obstacle à notre liberté, comme autrui, ou encore la société, l'État, la morale, le droit, jusqu'à notre conscience en nous-mêmes. Qu'en est-il donc de la liberté, face à ces entraves : faut-il y voir un rêve impossible, s'il

parmi les quatre au choix. Ne pas résumer tout le texte ! 2) Pour chacune d’elles, faire une réponse d’ environ 300 mots. Maximum 700 mots en tout. Indiquez le nombre total de mots à la fin. Un travail trop long sera refusé. 3) Pas d’introduction, ni de conclusion. Écrivez seulement le numéro de la question choisie + votre réponse. 4) Vous devez faire deux citations (pas plus, pas moins)

représente mais fait parti lui-même du système aussi. C'est-à-dire le principe de régime pèse sur son être. Mais il est aussi un homme, qui a comme tous les autres des besoins et des faiblesses du genre humain. Accabler un homme de la responsabilité d’un entier système politique, fait peut-être la tragédie du Cromwell voire du pouvoir. Mot-clé : Cromwell, souverain, régime, légitimité, humanité Dans le théâtre de « Cromwell » de Victor. Hugo, il y a une composition intéressante qui est vue très rarement

Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. Nous flattons le cheval dès sa naissance pour l’habituer à servir. Nos caresses ne l’empêchent pas de mordre son frein, de ruer sous l’éperon lorsqu’on veut le dompter. Il veut témoigner par là, ce me semble, qu’il ne sert pas de son gré, mais bien sous notre contrainte. Même les boeufs, sous le joug, geignent, et les oiseaux, en cage, se plaignent. Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l’élection du peuple, les autres

La puissance du tyran (466b – 472c) La toute puissance : Parvenu à ce stade, on peut dire que le thème de la rhétorique est pratiquement épuisé et qu’on entrevoit, au-delà de ce qui pouvait n’être au départ qu’une simple question de définition, ce que devient la vraie préoccupation du dialogue : une réflexion sur la justice et la puissance. Le quiproquo sur la puissance du tyran entre Socrate et Polos fait naître une scène comique savamment entretenu par Socrate grâce à cette formule : « Les