Y Aura T Il Toujours Des Religions

« Quelques réflexions sur place de la religion dans la société moderne », Fac-réflexion n° 31 – décembre 1995, pp. 4047 de la revue La pagination présente ne correspond pas à celle de la revue QUELQUES REFLEXIONS SUR LA PLACE DE LA RELIGION DANS LA SOCIETE MODERNE Neal BLOUGH Des sociologues nous viennent aujourd'hui certaines des analyses les plus fascinantes de l'évolution culturelle, la part du « religieux » comprise. Fascinantes et éclairantes, mais non pas infaillibles – bien entendu. Au

problème, sans avoir recourt a l'avortement. Secondement, dans presque toutes les religions, une femme n'est pas autorisée à se faire avorter. S'ils le font, leurs religions les punira. Dans certaines religions, par exemple, une femme ne peut pas prendre la communion après un avortement, et avant de prendre la communion de plus, elle doit faire beaucoup de choses comme une forme de pénitence. Quelle que soit la religion, l'avortement est puni et pour cette raison, les femmes ne devraient pas abandonner

présent, les grandes religions historiques ont joué un rôle primordial dans l’émergence des cultures et des civilisations et ont profondément imprimé leur marque dans la construction des cités politiques. Mais force est de reconnaître que le plus souvent elles ont méconnu l’exigence philosophique de non-violence et se sont ralliées aux idéologies dominantes de la violence nécessaire, légitime et honorable. Par l’enseignement rigide d’un discours dogmatique fermé, les religions ont souvent disposé

l’homme est vraiment libre comme on le dit : Le sens de la liberté s’applique t’elle a l’homme si ce dernier était libre de penser ou d’agir en fonction de ses valeurs. N’oublions surtout pas le pécher qui est a la base de la conscience humaine, la religion voit l’homme comme un être attiré par les choses interdites mais est ce vraiment vrai? Ensuite, la conception chrétienne de l’homme est qu’il a été créé par quelqu’un qui est plus grand que nous et qui ordonne le monde et donne le sens ou la

comprendre l'univers immense en le contemplant par les deux fenêtres que sont la science et la religion." a déclaré le physicien Freeman Dyson. En effet, sciences et religion sont deux principes souvent mis en compétition. L'un cherche à comprendre et expliquer, tandis que le second prône l'explication fondamentale , la croyance de l'indémontrable. Ici, dans son texte tiré de l’œuvre « Science et religion », Russell aborde ces deux premiers thèmes mais également celui de la vérité. Il met en relation

apparaissent stériles et inhabitées », qu'ils vivent «loin de tout ce que le reste des hommes estime», ils connaissent un grand moment de bonheur, riche en réflexions et en transformations.Mouversents du texte:I. LI A L 9 : « L'innocence. » à « dispose toujours à la vertu »: Réflexion de Des Grieux OU Maturité deDG et le changement de Msnon. / Maturité des deux personnagesII. 1.9 3 1. 17 : « Je lui fis comprendre w à « pied d'un autel. » : Le discours de DG OU La demande en mariage.III. I. 18 à la fin :

père ? Beaucoup d'occurence de « je ». Son discours révle qu'il est toujours égocentrique et qu'il n'a pas changé. Il désigne son père par « vous », « monsieur » l.18. Dans son discours, il a peu de confiance au ciel. L'athéisme, l'irreligion apparaissent involontairement l.10 à 12. Il n'a toujours pas une démarche de pardon. II-Le repentir joué de Dom Juan. 1) L'éloge indirect de la religion. Champs lexical de la religion → « ciel » l.1-6, rémission l.16, « repentir » l.25, « âme » l.8, « grâces »

particulier ne la motive (pleinement désintéressé). : n'est pas morale si: est motivé par un intérêt particulier. Une action est morale si et seulement si elle est accompli par devoir. Le devoir exige toujours des efforts. On ne fait jamais son devoir par désir mais par inclination. Kant: agit toujours de telle sorte que la maxime de ton action puisse être érigé par ta volonté en une loi universelle. La maxime désigne: le principe subjectif de l'action. Relation désir/morale: il n'est pas immorale

Le procès de Dieu L'ouvrage qui ouvre l'espace intellectuel du XVIIIème siècle dans son rapport à la religion est la Théodicée de Leibniz, paru en 1710. Voltaire ne s'y était pas trompé, puisqu'il tente à sa manière de le neutraliser à travers le récit des aventures imaginaires de son Candide. Mais, en réalité, si Voltaire s'oppose à Leibniz sur la solution, il partage avec lui la position du problème. Dieu se trouve convoqué devant le Tribunal de la raison humaine pour se justifier de l'existence

utilisant de nombreuses figures de style, mais il va surtout critiquer la nécessité d’être uniques et au-dessus les autres : Dans la Lettre 100, Rica dit : « L’inconstance prodigieuse des Français sur leurs modes » et « ce qui est étranger leur parait toujours ridicule » 2) La vie sociale : Lettre 87 « On dit que l’homme est un animal sociable. Sur ce pied là, il me parait qu’un Français est plus homme qu’un autre […] car il semble être fait uniquement pour la société » 1) Contre le mensonge