Yévanique

samaritain samogitien sarmate scythe sélonien sémigalien skalvien slovince, ou vieux poméranien sogdien sudovien, ou yotvingien sumérien tokharien thrace langues anatoliennes vandale vénète vieil irlandais vieux-slave volsque yévanique yotvingien [modifier]Lien interne Langues en danger Linguicide Liste des langues mortes Portail des langues Portail de l’histoire Catégorie : Langue morte Créer un compte ou se connecter Article Discussion Lire Modifier Afficher

dominait, à côté du grec notique et de l'arabe; araméen, hébreu et arabe sont des langues sémites. En Égypte, la langue usuelle était le copte, langue chamitique issue de l'ancien égyptien . Les juifs de l'Empire, dits "Romaniotes", s'exprimaient en yévanique, tandis que les synagogues continuaient à utiliser l'hébreu ancien. À partir duviiie siècle et après la reconquête arabe les Arabes commencèrent à s'approprier leur culture et leur langue après des siècles d'aliénation grecque en Syrie, Palestine

(Νοτική) en Cyrénaïque et Égypte. -------------------------------------------------------------------------------- Grec moderne (dès 1453) Dialectes : cappadocien, crétois, chypriote, démotique, griko, katharévousa, pontique, tsakonien, yévanique modifier Article détaillé : alphabet grec. La première forme d'écriture attestée pour noter un dialecte grec est le linéaire B, un syllabaire sans rapport avec l'alphabet grec, servant à transcrire une forme archaïque d'un dialecte

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont été éradiquées

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont été éradiquées

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les brillantes communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont été éradiquées

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont été éradiquées

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont été éradiquées

Shoah est aussi une catastrophe culturelle irréparable. Le yiddishland d’Europe centrale et orientale, les derniers romaniotes de Grèce sont pratiquement anéantis, et l’on estime que les trois quarts des locuteurs du yiddish et les cinq sixièmes du yévanique ont disparu pendant la guerre. Si la France n’a perdu « que » le quart de sa population juive, de sorte que le monde israélite français a survécu, en revanche, les communautés juives d’Amsterdam, Berlin, Vienne, Budapest ou Vilnius ont été éradiquées