Yoknapatawpha

n'apprécie pas, et rentre à Oxford où il rédige "Etendards dans la poussière"(1927) (intitulé également "Sartoris" suivant les éditions) dont il est très fier. C'est dans ce roman que ses personnages évoluent pour la première fois dans le comté de Yoknapatawpha, cadre de la plupart de ses romans futurs. Alors qu'il n'arrive toujours pas à vivre de sa plume, il continue d'alterner petits travaux et écriture, publiant quatre de ses romans majeurs ("le Bruit et la fureur" "Tandis que j'agonise" "Sanctuaire"

présente des récits de « guerre », récits rapportés par l’aviateur qu’était william faulkner qui semble surtout retenir le désarroi moral des survivants de toutes ces morts pendant la guerre. La deuxième partie prend place dans le conté fictif du yoknapatawpha ,dans le mississipi, dont le créateur faulkner a annexé la topographie dans un des ses autres romans. L’écrivain se retrouve ici sur ses terres et décrits des personnages qu’il nous a rendu famillier. La troisieme partie, plus courte, ne contient

exploits. Déjà très porté sur l'alcool, Faulkner est vendeur en librairie, puis postier, mais passe l'essentiel de son temps à écrire et lire. Parmi ses auteurs favoris, on trouve Balzac. Les biographes font d'ailleurs un rapprochement entre la Yoknapatawpha saga de l'auteur américain et la Comédie humaine dont on a retrouvé une traduction complète dans sa bibliothèque de Rowan Oak, maison qu'il achète en 1930 à Oxford (Mississippi) 2 et où il s'installe peu après son mariage. Ce mariage avec Estelle

drame latent. Il s’est rendu compte que «le petit timbre de poste» de son sol natal méritait qu'on en fasse un livre. Ayant trouvé sa voie et sa voix, il s’employa à immortaliser le comté d'Oxford, en en faisant le comté imaginaire, mythique, de Yoknapatawpha («le pays où l’eau coule lentement à travers ls plaines»), microcosme dont il a esquissé la topographie dans un plan annexé à “Absalom ! Absalom !”, dont il allait conter l’histoire animée et faire vivre la population richement variée, montrant

labyrinthe joycien ……………………………………………………… 119 18. Les espaces mythiques et emblématiques.…………………………………. 120 19. Personnification et humanisation du paysage.…………………………….. 124 20. Conclusion ………………………………………………………………… 127 V. LE PAYSAGE MYTHIQUE DE « YOKNAPATAWPHA » CHEZ WILLIAM AULKNER…………………………………………………………. 1. Le secret de l’écriture faulknérienne.………………………………………. 2. Contre la propriété de la terre……………………………………………… 3. Le thème du « géocide » …………………………………………………… 4. La signification de la chasse.………………………………………………

documentary picture of the narrow and limited middle-class mind His style • He was a regionalist. His region was the Deep South, with its bitter history of slavery, civil war and destruction. • Most his stories take place in his imaginary Yoknapatawpha County, and concern members of the same families at different times in history. • His works are distinguished by complex plots, sometimes extending over several novels in which the same characters appear. • He successfully advanced two

espacially the one of the Southern based on aristocracy and slavery. The destruction of tradition => nostalgia for the past. The story are set in an imaginary county which is in fact a transposition of the place where he spent his childhood, called Yoknapatawpha (nom qui renvoie aux grands silencieux de l’histoire américaine: les indiens. La polarité blanc/noir du Sud efface le passé réel qui est le passé indien). William Faulkner, The Sound and the Fury (1929) Vocabulary: The sash: écharpe, ceinture

parallels between Waterland and Absalom, Absalom! that reviewers have observed in fact serve to point up the differences between the two fictional worlds. As one anonymous review pointed out, "The Fens of east England serve novelist Graham Swift as Yoknapatawpha County served William Faulkner: less as a geographical setting than as an active force shaping people's lives … Mysteries ramify but ultimately lead, as in all Gothic novels (including Faulkner's) to a secret at the center of the family house."

prix Goncourt pour L’Épervier de Maheux, l’histoire tragique de la fin d’un monde, qui vaut surtout par une écriture cherchant à rendre la violence et la splendeur du « Haut-Pays », avec pour références le maître de Manosque, Giono, et celui du Yoknapatawpha, Faulkner. Carrière a continué par la suite à décrire les hautes terres, dans La Caverne des pestiférés (1978-1979), Achigan (1994), L’Empire des songes (1997) ou Un jardin pour l’éternel (1999). Une troisième génération littéraire est aujourd’hui

prix Goncourt pour L’Épervier de Maheux, l’histoire tragique de la fin d’un monde, qui vaut surtout par une écriture cherchant à rendre la violence et la splendeur du « Haut-Pays », avec pour références le maître de Manosque, Giono, et celui du Yoknapatawpha, Faulkner. Carrière a continué par la suite à décrire les hautes terres, dans La Caverne des pestiférés (1978-1979), Achigan (1994), L’Empire des songes (1997) ou Un jardin pour l’éternel (1999). Une troisième génération littéraire est