Yougoslaves

crée en 1955. 3. Des vagues d’épuration Avec le soutien de l’armée et de la police politique, le pouvoir s’en prend aux « ennemis du peuple » et élimine tout opposant. En juin 1948, le Kominform condamne le « déviationnisme » du dirigeant yougoslave Tito. Tito refuse d’obéir à Moscou et son pays est exclu du Kominform. Dans les dies populaires, la condamnation du titisme et de tout autre « déviationnisme » entraîne l’exclusion d’un quart des cistes et à l’arrestation d’environ 10 % d’entre

mais également franquisme Espagnol ou bien encore le Kémalisme qui entend aussi bien mettre fin aux tentatives dictatoriales et aux tentatives démocratiques des Jeunes Turcs. On peut aussi inscrire les sytèmes autoritaires ds socialisme: Titisme Yougoslave. Aucun de ces trois moments n'est identifiable. Etablir des nuances: fascisme et franquisme nreuses similitudes mais nuances: franquisme= conservateur, archaisant/ Fascisme: profondément modernateur. ( Rapport colonialisme, mise ne place des

le dénoncer. - Néanmoins les principes posés à Nuremberg vont donner lieu à des actions de justice ultérieures contre des nazis (Eichmann, Barbie) et inspirent toujours aujourd'hui les actions des tribunaux internationaux (criminels de guerre yougoslaves, responsables du génocide rwandais. D° : Deux États allemands face à l'héritage nazi : (CF polycop)

les États-Unis avec sa politique d'indépendance nationale (armes atomiques, retrait de l'OTAN). Dans le camp soviétique, l'autorité de Moscou est aussi mise en cause (Budapest, 1956 ; rupture avec la Chine, 1962 ; Prague, 1968 ; voies roumaine et yougoslave). La fin de la guerre froide, correspond à l'implosion du système soviétique au cours des années 80. En 1945 la fin de la seconde guerre mondiale laisse le monde en ruines, à l'exception de deux grandes puissances : l'URSS, véritable vainqueur

crise des fusées en octobre 1962. Par la suite, il tente d’exporter la révolution, notamment en Amérique du Sud où, grâce à son fidèle lieutenant Ernesto “che” Guevara (tué en 1967) il appuie les guérillas communistes. Tito (+1980)  Communiste yougoslave depuis la révolution de 1917, il organise la résistance contre les Allemands pendant la guerre et dirige la Yougoslavie jusqu’à sa mort en 1980. Son refus d’être assujetti par l’URSS conduit à un schisme (une cassure) avec elle de 1948 à 1956.

Brésil, Bulgarie, Burundi, Cambodge, Cameroun, Canada, Cap-Vert, Chili, Chypre, Colombie , Congo, Costa Rica, Côte d'Ivoire, Croatie, Danemark, Dominique, Egypte, El Salvador, Equateur, Espagne, Estonie, Etats-Unis d'Amérique, Ethiopie, Ex-République yougoslave de Macédoine, Fédération de Russie, Finlande, France, Gabon, Gambie, Géorgie, Grèce, Grenade. Guatemala, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Guyana, Haïti, Hongrie, Inde, Iran (République islamique d'), Iraq, Irlande, Islande, Israël

communistes pour les affaiblir avant de les éliminer (fin du pluripartisme) En septembre 1947, à Sklarska-Poreba en Pologne, lors de la réunion des responsables des partis communistes (soviétique, polonais, roumain, tchécoslovaque, hongrois, bulgare, yougoslave, italien et français), Jdanov légitime le régime de parti unique. Il créé le Bureau d’information communiste (Kominform) pour coordonner, à partir de Moscou, l’action des partis communistes d’Europe contre « le camp impérialiste ». En 1948, le

démasquer le meurtrier d’une jeune femme retrouvée morte dans un fossé. Elle a été écrite sous forme de plusieurs monologues mis ensemble dans l’optique d’offrir divers points de vues de la situation. On y retrouve six personnages : une prostituée yougoslave (Stéphanie David), le copain de la défunte (Mario Mercier), le policier s’occupant de l’enquête (Kevin McCoy), la mère sous le choc de la nouvelle (Marcia Babineau), un pusher qui vend de la drogue (Jean-Michel Déry) ainsi que le « boy » (Christian

dans la volonté d'indépendance et de souveraineté des pays colonisés. De même en 1991, les nations qui formaient la Yougoslavie (Croatie, Bosnie-Herzégovine, Slovénie, Madédoine) ont voulu devenir des Etats indépendants, mais une autre nation yougoslave, la Serbie', dirigée par le leader nationaliste Slobodan Milosevic, prétendait garder le pouvoir central. Il s'est ensuivi une guerre très violente entre les nations de l'ex-Yougoslavie.

dirigé par Vaclav Havel En Rou, révolte populaire attisé par la propagande de la découverte d’un charnier à Timisoara, capture et exécute dans un procès expéditif les époux Ceausescu Tour à tour abandonné par Moscou, D P s’effondre Seul régime Yougoslaves et albanais tentent de se réformer avec po nationaliste nouvelle