Yvain Et Lancelot Chevaliers De La Table Ronde

ne paraît pas réelle. 128-129-151-171-176 : 128 : perd tous ses chevaliers. Plains la France, se demande quoi faire. 129 : veut appeler à l'aide pour lui-même, est occupé à perdre son honneur. 151 : perd son ami Olivier et sa sagesse. 171 : perd son épée, pouvoir très symbolique. Souvent des reliques dans la poignée. 176 : perd la vie. Le gant : reçu lors de l'adoubement (en rapport aux vœux des chevaliers), rend son âme de chevalier, sa vie. Il se prépare à la mort (sous un pin), tourné vers l'Espagne

une encre plus épaisse mais qui suppose de chauffer l’ensemble de la préparation avant de l’utiliser. L’encre rouge quand à elle est obtenue à partir de l’oxyde de plomb appelé minium ou rubrica. Le copiste ne travaille plus en tailleur mais sur une table plane ou un pupitre imprimé, outre le texte qu’il copie le copiste peut être à l’origine de plusieurs notations, pour le rubricateur afin de remodifier ou à l’enlumineur. Le copiste écrit lui aussi en marge de tête de queue ou de gouttière. Il pouvait

de servir successivement aux gens riches les mets de prix avec leur jus, un morceau après l’autre, en diverse présentation, on l’appelle en langue vulgaire, graal . » fin XII°s Le graal fait parti d’un service de table aristocratique, on est dans le domaine de la noblesse, des chevaliers. De plus c’est un mot qui appartient à la langue vulgaire, à l’ancien français, en opposition au latin. Après Chrétien de Troyes, que devient le mot graal ? Le mot lui même dans sa valeur première, dans sa valeur

le ‘serf’ s’agenouille devant le ‘seigneur’. Le territoire ‘français’ s’en sort de cette seconde période de barbarie appuyée sur deux pouvoirs : l’église et le roi. A travers la ‘paix de Dieu’ et la croisade, le clergé canalise l’agressivité des chevaliers. La dynastie des Capétiens s’appuie sur l’Église et permet cette petite période dorée où Louis le Saint devient un personnage de culte. À partir du XIIIème siècle, la monarchie s’affirme et s’instaure insidieusement le royaume des ‘bourgeois’ –habitants

siècle, des poèmes, les chansons de geste, racontent les aventures de chevaliers pendant des événements historiques remontant aux siècles antérieurs (‘’gesta’’, en latin, signifie « action » ou « fait exceptionnel »). Mais c’est bien l’idéal de la société féodale qui est mis en scène : respect absolu des engagements féodaux entre suzerain et vassal, morale chevaleresque, qualités guerrières au service de la foi. Le chevalier obéit à un code d’honneur très exigeant : méprisant la fatigue, la peur

impossible. La dame est idéalisée, hautaine, inatteignable, et seulement objet de convoitise. - L’amour raffiné : le chevalier du Moyen-âge est partagé entre les ennemis à tuer et la dame à conquérir. Pour se faire remarquer par les femmes, le chevalier doit se distinguer sans se battre et sans boire. L’amour courtois est donc un facteur de raffinement et de civilisation. Le chevalier doit se montrer comme un homme civilisé. Les troubadours ne font pas des éloges de l’amour platonique, qui ne se

➢ La guerre de Cent ans. 1. Les Croisades Il y a eu huit Croisades, qui se sont déroulées entre 1095 et 1291. Ce sont des expéditions militaires pour délivrer la Terre sainte des Infidèles (les musulmans). L’Eglise appelle les chevaliers des royaumes catholiques à libérer le tombeau du Christ. Des milliers de pèlerins les accompagnent. Ils installent en Orient le royaume de Jérusalem. Les troupes de l’Islam les menacent et les Croisades se succèdent mais s’achèvent par la perte

chantant le nationalisme breton, place importante à Arthur mais il doute de la véracité historique du contexte arthurien dont la première mention date du 9e S. Arthur est l’héros breton par excellence. Ici, c'est la première fois que l'on parle de la table ronde. Wace est séduit par le caractère fabuleux qui entoure Arthur, le fond celtique et breton. Le roman breton ne prétend pas à la vérité historique. Pas de recherche de la vérité référentielle mais une vérité liée au sens : conjointure. Avec le développement

s'appelle Doon de Mayence et Girart de Roussillon (fin du 12èS et début du 13èS). Autres chansons de geste On ne sait pas donner de nom car il n'y a pas de personne central. Il y a un cycle qui raconte les origines de Godefroid de Bouillon (« Chevalier au Cygne »). Il y a aussi « Ami et Amile ». Ensuite, il y a « La prise de Jérusalem ». La Chanson de Roland La chanson de Roland raconte l'expédition de Roland et de ses compagnons en Espagne et surtout leur retour. Ils se font tous

hyperbolisation. Le héro est toujours la personnification du courage. Chaque chanson à un but. L’idéologie peut changer. Bédier dit que les jongleurs ont employé le but pour transmettre la religion. Le mouvement spirituel va exalter la valeur des chevaliers chrétiens dans les croisades. Il y a des autres chansons de geste qui parlent de question juridiques, etc. Une fois que les chansons de geste sont au moyen orale on va ajouter plus d´histoires, et on va les allonger avec es récits des « enfances