Yves Guyot

Yves KLEIN Né à Nice le 28 avril 1928, mort à Paris le 6 juin 1962 Artiste français (peinture). Carrière artistique assez courte (1954-1962). Considéré comme l'un des plus importants protagonistes de l'avant-garde artistique d'après-guerre Connu pour son bleu (IKB pour International Klein Blue), qu'il appliqua sur de nombreuses œuvres (toiles, sculptures, éponges...) Introduction (lien avec le cour) : 1956 qu'il met au point sa fameuse formule du lumineux bleu outremer (ou bleu ultramarin)

travail de l'Abbé Pierre, commencé lors de l'hiver 1954, ceci montre bien que la pauvreté ne se désamplifie pas et que l'état est contraint de se décharger d'une partie du social. Coluche forme alors la première bande d’Enfoirés : Jean-Jacques Goldman, Yves Montand, Nathalie Baye, Michel Platini et Michel Drucker. Grâce à l'image de Coluche et de tous ses amis, les Restos du Coeur vont pouvoir avoir le soutien des médias et ainsi se faire reconnaître d’un très large public. Même si son fondateur décède

moderne | |[pic]Monographies des grandes figures de l’art moderne | | | |Yves KLEIN | |  | |[pic]   [pic]   [pic]

son maitre car il le critique dans son dos et lui montre toute sa gratitudes lorsqu’il se trouve a ses côté. De plus, tout comme Sganarelle, le personnage de Jacquouille est attirer par l’argents. On peut citer aussi le couple de Louis de Funes et Yves Montand dans le film « La folie des grandeurs » de Gérard Oury ou l’on retrouve la relation maitres-valet mais cette fois c’est le maitre qui est hypocrite avec son valet. Il se sert de lui a ses dépends mais malgré cette hypocrisie, il en résulte

organisateurs de la course. assistance médicale : lors de l'édition de 1992, Bertrand de Broc s'est recousu la langue à l'aide d'un miroir et avec les conseils du docteur Chauve, médecin de la course. aucune assistance : lors du Vendée Globe 2000, Yves Parlier a effectué une réparation de son bateau en s'abritant dans une crique, les photographes ont pu l'approcher de quelques mètres mais en aucun cas monter à bord du bateau. Il a pu rejoindre la terre sans dépasser la limite des plus hautes marées

par se faire une petite réputation dans le « métier », parvenant non sans peine à placer quelques titres chez les interprètes de l’époque : Yvette GiraudN 6, Renée LebasN 7, Édith PiafN 8, Henri SalvadorN 9, Marc & AndréN 10, puis un peu plus tard Yves Montand et Les Frères Jacques. Mais c'est avec la chanteuse Catherine Sauvage qu'il va trouver sa plus fidèle, passionnée et convaincante ambassadriceN 11. Les années Chant du Monde : 1947 - 1953[modifier | modifier le code] Le 3 mars 1947, Léo Ferré

interprétations, tout d’abord celle d’Anna MARLY, sa créatrice, puis Germaine Sablon, Johnny Hallyday, Jean Ferrat, Charles Aznavour, Joan Baez, Line Renaud… et à des reprises comme celle de ZEBDA.  J’ai choisi de vous présenter la version interprétée par Yves MONTAND.   C’est un chant de combat, un appel intemporel à résister, mais aussi un hymne à la fraternité et à l’espoir. C’est un appel à la lutte pour la Liberté qui galvanisera tous les Peuples opprimés auxquels il s’adresse. Le texte, le poids

souffrance humaine. Analyse de l'oeuvre : Description: -Titre: Hiroshima. -Elle a été réalisée: en 1961 soit 16 ans après Hiroshima. -Elle mesure: 1m40 de haut par 2m80 de long. -Elle est faite de peinture bleue, du bleu Yves Klein sur papier blanc collé sur toile. Elle est dite monochrome. -Elle se trouve: aux Etats-Unis, chez un collectionneur. -On voit trois silhouettes claires occuper l'ensemble du format dans des postures différentes, plus deux autres peu distinctes

Histoire des Arts : Thématique Œuvre présentée ARTS, ETATS ET POUVOIR Arts du son / Arts du langage Guerre et Résistance LE CHANT DES PARTISANS Joseph Kessel, Maurice Druon Musique d'Anna Marly Chanson engagée Interprette : Yves Montand LE CHANT DES PARTISANS/CONTEXTE HISTORIQUE Depuis mai 1940 une partie de la France est occupée. En octobre 1939 le maréchal Pétain invite tous les français à collaborer avec les Allemands. Parallèlement depuis juin 1940 un général français

famille de fermiers de la Loire, le jeune Armand montre très tôt des dispositions pour le dessin et la peinture. Après son baccalauréat, il étudie à l'École des arts décoratifs de Nice (aujourd'hui la villa Arson), puis à l'école du Louvre. Il rencontre Yves Klein et Claude Pascal à l'école de judo qu'ils fréquentent à Nice en 1947. Avec ces deux amis, il s'intéresse un temps aux philosophies orientales et à la théorie rosicrucienne. Fin 1957, Arman, qui signe ses œuvres de son prénom en hommage à Van