Yvette Roudy

l’arrivée de François Mitterrand au pouvoir en 1981 se nommant le candidat des femmes même si elles n’avaient pas en grande majorité votées pour lui. Ces conquêtes se traduisent en premier lieu par le ministère des Droits de la femme occupé par Yvette Roudy en effet il ne s’intitule plus «la condition féminine » de plus en 1973, et est crée en France un secrétariat d’Etat à la condition féminine. Ainsi le féminisme d’Etat fut a l’origine de grandes lois pour les femmes entre 1981 et 1986 exemple

appliqué, lors des élections présidentielles de 2002, les grands partis politiques ont préféré payer l'amende que de respecter ce pourcentage... Cette mobilisation a réunit des femmes de tout bord politique, comme Roseline Bachelot, Simone Veil, Yvette Roudy, Françoise Gaspard, Gisèle Halimi. Cette initiative fût aussi appuyée par des hommes politiques comme Alain Juppé qui créa l'Observatoire de la parité en 1995, Jacques Chirac et Lionel Jospin qui contribuèrent à l'aboutissement de la loi sur la

Introduction 3 II. Synthèse et commentaire 6 A. La catégorie de sexe 6 B. On ne nait pas femme 7 C. La pensée straight 7 D. Commentaires 8 III. Conclusion 9 IV. Bibliographie 10 Introduction 13 juillet 1983 La loi Roudy établit l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Yvette Roudy est nommée en 1981 ministre des droits de la femme par le président François Mitterrand. La loi inscrit l’égalité salariale entre les hommes et les femmes. Initialement le texte de loi incluait « l’une des discriminations

comprend 5 femmes puis 6 en 1983 (14 %) dont Madame Yvette Roudy, Ministre des droits de la femme1. Celle-ci entend faire des Françaises des « citoyennes à part entière »Il n’en reste pas moins que la place des Françaises dans la sphère politique n’a guère évoluée. La bascule de 92 : Au début des années 1990 : la France demeure, avec la Grèce, la “lanterne rouge” Le 7 mars 1993 au Sénat, l’Assemblée des Femmes, crée en 1992 par Yvette ROUDY ancienne Ministre et qui a objectif la promotion des

Marcelle Claverie devient la première femme conducteur d'autobus à Paris sur la ligne 49. En 1962, Marguerite Perey est 1ère femme à l'académie des sciences. En1962-63, Mouvement de la femme créaient par Marie-Thérèse Eyquem, Colette Audry, Yvette Roudy dirigent le MDF(Mouvement Démocratique Féminin). En 1965, Olivia de Havilland devient Première femme présidente du du jury du festival de Cannes (Cinéma). En 1967, adoption de la loi Neuwirth. Cette loi marque une grande étape dans la

1975 la loi pour l’avortement est adopté. Avant le viol était reconnu comme crime mais il excluait le viol entre époux. Alors la loi du 23 décembre 1980 a permis de donner une définition précise du viol. La ministre des droits de la femme Yvette Roudy sous François Mitterrand a souscrit deux lois importantes pour la condition féminine. Dont l’une du 13 juillet 1983 permet de mettre la femme au même piédestal que l’homme celui de l’égalité professionnelle (niveau des salaires, du statut). La

invisibles,  créées  à  la   fois  par   des  préjugés  et  stéréotypes  et  par  le  mode  de  fonctionnement  des  organisations.  ».  La  persistance  de  ces  inégalités  conduit  le  gouvernement,  Yvette  Roudy  (ministre),  en  1983,  à  voter  une  loi  sur  l'égalité  professionnelle  (dite  «  loi  Roudy  »).  Mais  dans  les   années  1980,  le  chômage  touchent  d'avantages  les   femmes  que  les  hommes,  en  1982 il était de 9,2 % pour les femmes et de 5.4 % pour les hommes d'après l'INSEE

ministre sous le gouvernement de François Mitterrand. Ce dernier est élu président avec un électorat largement féminin. Il transforme le secrétariat d’État aux femmes en ministère des Droits de la femme dont il confie la responsabilité à Yvette Roudy.. La loi Roudy sur l'égalité professionnelle homme/femme, rappelel la notion de "à travail égal salaire égal" de 1983. Ainsi, pendant 5 ans, elle s’attache à essayer de réduire les inégalités entre hommes et femmes dans l’entreprise, et, entre filles et

au nom du respect des droits de l’homme. Des actions communes se tiendront après de longues phases de réflexion, d’élaboration d’arguments, et d’analyse juridique, dix sept ans parés la présentation d’un projet de loi anti-sexiste imaginé par Yvette Roudy, ancienne ministre des droits de la femme, en mille neuf sans quatre vingt trois, qui n’aura jamais vu le jour. Nous pouvons nous demander toutefois qui peut prendre la responsabilité de dire ce qui doit être vu et ce qui ne le doit pas, dans un

femmes aux différents niveaux de responsabilité dans la société française et à éliminer les discriminations dont elles peuvent faire l'objet. Après l'élection de François Mitterrand, la condition féminine est confiée à un(e) ministre délégué(e) : Yvette Roudy qui devient ministre de plein exercice en 1985. Depuis 2002 Nicole Ameline, ministre déléguée à la partité et à l'égalité professionnelle, puis ministre de plein exercice depuis 2004, a en charge ce secteur. Au Parlement, la loi du 12 juillet