Yvette Roudy

officiel du 24 mars 2006. * Dans le même domaine, le mouvement féministe s’est, depuis des années, attardé sur la question de la parité politique mais aussi professionnelle. Dans le domaine professionnel, la loi Roudy, qui tient son nom de la ministre des droits de la femme Yvette Roudy, est une loi qui met en place l’obligation des entreprises de plus de 50 salariés à publier un rapport sur la parité dans leurs entreprises, que cela soit en matière d’embauche, de qualification ou de rémunération

Garmendia, Jean-Michel Boucheron (Ille-et-Vilaine), Gérard Welzer, Claude Bartolone, Philippe Puaud, Charles Metzinger, Bernard Derosier, André Ledran, Mme Catherine Lalumière, MM. Guy Malandain, Alain Barrau, Roger-Gérard Schwartzenberg, Mme Yvette Roudy, MM. Jean-Jack Queyranne, Jean Auroux, Nicolas Alfonsi, Jean Anciant, Pierre Bérégovoy, Alain Calmat, Jean-Claude Cassaing, Guy Chanfrault, Daniel Chevallier, Jean-Pierre Chevènement, Michel Coffineau, Michel Crépeau, Gérard Fuchs, Michel Sapin

appliqué, lors des élections présidentielles de 2002, les grands partis politiques ont préféré payer l'amende que de respecter ce pourcentage... Cette mobilisation a réunit des femmes de tout bord politique, comme Roseline Bachelot, Simone Veil, Yvette Roudy, Françoise Gaspard, Gisèle Halimi. Cette initiative fût aussi appuyée par des hommes politiques comme Alain Juppé qui créa l'Observatoire de la parité en 1995, Jacques Chirac et Lionel Jospin qui contribuèrent à l'aboutissement de la loi sur la

clairement prise en compte par les socialistes au pouvoir dans les années 1980.Le candidat Mitterrand lui a fait une place non négligeable dans son programme et le premier gouvernement socialiste comprend un Ministère des Droits de la femme confié à Yvette Roudy qui entend faire des Françaises des « citoyennes à part entière ». Mais si les initiatives sont nombreuses au plan législatif, il est un domaine où la situation n’a guère évolué, celui de la place des Françaises dans la sphère politique. Ainsi

féminine est au delà de 30% -le monde du travail, jusqu'en 1965 une femme marié devait obtenir le consentement de son mari pour pourvoir travailler. La première lois spécifique concernant le travail des femmes , la loi du 13 juillet 1983 de Yvette Roudy cette loi porte sur l'égalité professionnel entre homme et femme le 9 mai 2001 une nouvelle loi a été voté pour renforcer la loi de 1983, c'est la loi Génisson Malgré ces lois les inégalités sont très forte , en matière d'emploi , de carrière

ministre est assisté de deux «secrétaires d’Etat parlementaires». 117 La Condition féminine offre l’exemple d’un département ministériel épisodique. Confiée à une secrétaire d’Etat en 1974 (Françoise Giroud), puis à une ministre déléguée en 1981 (Yvette Roudy), par la suite englobée dans un ministère social en 1993 (Simone Veil), elle est parfois simplement confiée à une Délégation nationale (1976). La Recherche, pour sa part, a connu les honneurs d’un ministère d’Etat (Jean-Pierre Chevènement en

chronologique. -Premier „focus“ sur FMA (Féminin, Masculin, Avenir): 1967. Créé par Anne Zelensky et Jacqueline Feldmann, déçues par le MDF (Mouvement Démocratique Féminin) → note de bas de page: „[...]Le Mouvement Démocratique Féminin d'Yvette Roudy et Colette Audry est lié à la Fédération de la gauche démocratique et socialiste de François Mitterand“ p.11). Un groupe mixte. Réflexions sur les rôles traditionnels (remise en question du mariage, de la famille, plaisir féminin...). Note de bas

français. Après la victoire du socialiste François Mitterrand aux présidentielles de 1981 et celle de la majorité de gauche aux législatives, un nouveau ministère délégué auprès du premier ministre chargé des droits de la femme (MDDF) a été créé. Yvette Roudy, une militante de longue date du parti socialiste, fut nommé à sa tête. Comme le fait remarquer Amy Mazur, le MDDF était un point important de la lutte pour les droits de la femme au sein du parti socialiste et du nouveau programme annoncé par

considérée comme hystérique, tandis que chez un homme, il fait preuve de caractère. Mais le plafond de verre, c’est aussi ne pas être reconnue par une dénomination féminine. En 1981, sous le Gouvernement Chirac, Lionel Jospin ainsi que madame Yvette Roudy, alors premier ministre pour la féminisation des noms, s’appliquaient à donner aux femmes leur titre au féminin : « Quand il n’y a pas de mots pour nous, c’est que nous n’existons pas » disait Benoite Groult. De ce fait, il est désormais obligatoire

Rapport au ministre délégué à la Santé, La documentation Française, Paris, 2001, 81p [ 2 ]. Sociologue et auteur du livre «Les hommes violents », LIERRE ET COUDRIER, Paris, 1991. [ 3 ]. Articles 9 et 44 du Code de déontologie médicale [ 4 ]. Yvette ROUDY Membre du Parti socialiste (PS), elle a été députée européenne (1979-81), ministre des Droits de la femme (1981-86), [ 5 ]. Ministre délégué à la parité et à l’égalité professionnelle [ 6 ]. Art. 132-80 du Code pénal [ 7 ]. Rapport 2010 Amnesty