Zadig Evolution

parcours, elle est le reflet d’une profonde connexion entre l’homme et le monde ». Et, pour Edgar MORIN : « … nous avons quelque chose qu’on peut appeler l’esprit-cerveau lié et récursif puisque l’un coproduit l’autre […] surgit à partir d’une évolution biologique, via l’hominisation, jusqu’à homo sapiens ». Tandis que Antonio DAMASIO avec sa théorie des marqueurs somatiques lie raison et émotion : «… le début de la conscience est le ressenti d’un état de l’organisme » . Ces positions réfutent

1. Le Naturalisme (origines + explications) Le terme « naturalisme » vient du latin « naturalis » qui signifie « naturel ». Désigne le mouvement littéraire apparu entre 1865 et 1890 qui s'inscrit directement dans le prolongement du mouvement réaliste auquel il est apparenté. S’attache à peindre la réalité et se propose de reproduire très exactement la nature, en refusant toute idéalisation du réel. Les romanciers se donnèrent d’ailleurs pour objectif la description exacte et scientifique

les deux principes paraissent assez proches. La différence principale se situe au niveau des mécanismes. Lamarck nous dit que les êtres vivants changent par obtention de certains caractères qui leur apportent des avantages (Ex: le cou de la girafe devient de plus en plus long à force de chercher à atteindre les feuilles de l'arbre). Pour lui, ces nouveaux caractères sont transmissibles à la descendance. Ce qui veut dire que si cette girafe qui a transformé son cou se reproduit, son petit aura un

possibilités médicales (diagnostic prénatal, diagnostic préimplantatoire...) qui ont nourri les débats éthiques concernant la convergence des techniques bio-médicales et des pratiques sélectives. « L'eugénisme est la direction par les humains de leur évolution » : logo du Second International Congress of Eugenics, en 1921, décrivant l'eugénisme comme un arbre dont le tronc est créé à partir des différents champs de connaissances de l'humanité. Sommaire 1 Les origines de l’eugénisme galtonien

Histoire d’idées, Montréal, Liber, 2000 2 Inconnu, Le voyage du beagle, http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Voyage_du_Beagle, 7/3/13 systèmes où il peut évoluer. Il n’a donc aucune supériorité par rapport aux autres, il est seulement le fruit d’une évolution constante qui le place mieux adapté que ses ancêtres au milieu dans lequel il évolue. Il en va aussi/300 de même pour les autres espèces animales qui se sont adaptés à leurs milieux aux dépends de ceux qui n’ont pas réussi : «les sujets les mieux

variantes : c'est l'évolution des populations par voie de sélection naturelle. - Cette évolution peut aboutir à la création d'espèces nouvelles : l'espèce n'est pas une entité close et fixe. - Une espèce dont les variations sont nombreuses et diverses peut occuper des milieux variés et adopter des régimes alimentaires différents, ce qui favorise son expansion numérique, géographique et accélère son évolution. - La sélection sexuelle : ce sont les mâles les mieux armés pour la vie qui laissent le

sapiens. Convergences. S. Gould (1992) : Trois différences majeures entre évolution naturelle et évolution culturelle : Evolution culturelle : non liée à des caractères hérités, mais se transmet par l’apprentissage. Les innovations réussies peuvent être enseignées directement à la génération suivante. Evolution naturelle : s’opère par les gènes durées longues pour l’adaptation à des changements environnementaux. Evolution biologique : système de divergence, par des recombinaisons, mutations génétiques

  DARWINISME SOCIAL, RACISME SCIENTIFIQUE ET RACINES DU NAZISME I-DARWINISME ET DARWINISME SOCIAL Le terme darwinisme, issu du nom du naturaliste anglais Charles Darwin (1809-1882), peut désigner : Au sens strict, la théorie expliquant l'évolution des espèces formulée en 1859 par Charles Darwin dans son ouvrage majeur De l'origine des espèces, mettant notamment en avant le mécanisme de la sélection naturelle. En biologie, la sélection naturelle est l'un des mécanismes qui causent l'évolution des espèces

Sujet : Faut-il réduire le vivant à une machine pour le connaître ? De la philosophie aristotélicienne à nos jours, la question de la connaissance du vivant a souvent été traitée. En effet, de nombreux philosophes tels qu’Aristote, Descartes, Canguilhem, ou Darwin se sont penchés sur ce sujet qui, encore aujourd’hui, malgré les progrès incontestables de la science, reste encore très discuté. De nombreuses idées, parfois même très radicales (comme le vitalisme), se sont alors affrontées au cours

De grands changements se sont produits au courant du 19e siècle qui ont changés à tout jamais la façon de définir l'être humain et la place qu'il occupe dans l'univers. Ce fut une période propice au développement industriel, mais aussi au développement des sciences biologiques et à la conception de certaines théories sur l'évolution. Le courant naturaliste présent à l'époque du 19e siècle repose sur la certitude que l'être humain, tout comme la nature, constitue un objet d'étude scientifique. Ce