Zélotes

tous de grandes familles tres riche ils vont directement sympathiser avec les Romains pour atirer leur faveur , ils ne croient qu’en la Torah et ils sont tres attachés au temple de Jerusalem . Les Zelotes : composé de different groupes sociaux, l’empreur se prend pour un dieu vivant et les Zelotes sont contre ca car pour eux il n’existe qu’un seul et unique dieu et ce n’est pas l’empreur . lls ne vont pas hésité a attaquer l’empire Romain. Les Esséniens : composé de moines célibataires , groupe

ce groupe avec Jean le Baptiste. Les Zélotes : ce sont des résistants de l’époque, des inconditionnels contre Rome qui veulent chasser l’occupant. C’est une opposition de type politique : ils veulent que la terre de leurs pères ne soit plus souillée par la présence des romains païens. Les Publicains correspondent à une fonction, un travail, celui de percevoir les impôts pour l’occupant. Dans l’équipe de Jésus, on trouve un publicain (Mathieu) et un zélote (Simon). Un pays dispersé : nombre

culturelles sont autorisés grâce à l'instauration de certaine mesure. Aussi, le judaisme apparait être une religion très complexe pour les romains. La diversité des courants qui composent cette religion comme les saducéens, pharisiens, esséniens, zélotes divergent sur des questions religieuses comme l'interprétation de la bible mais également sur des questions politiques et le comportement à adopter face au pouvoir romain. Face à ce phénomène, dans une ville qui devient de plus en plus cosmopolite

Loi : ce qu’ils suivent est d’abord une personne, la Voie de toutes les voies : le Christ.   • Les sectes juives au seuil du Nouveau Testament.  Il est difficile de comprendre les débats qui opposèrent Jésus aux Pharisiens, aux Sadducéens et aux Zélotes, sans connaître les grands courants qui animèrent, et souvent divisèrent, le judaïsme contemporain du Christ. S’agit-il seulement de courants de pensée, ou peut-on parler de sectes ?   • Sur la genèse ecclésiale des sectes.  Une typologie des

extrèmement plausible.. Le seul récit que l'on ait de ce siège nous vient de l'historien juif Flavius Josèphe, qui assiste le général romain. Quand les assiégeants pénètrent dans la forteresse, ils doivent affronter l'incendie allumé par les Zélotes avant de découvrir les cadavres de ceux-ci. D'après l'historien, qui n'a pas lui-même vu l'intérieur de la forteresse, dix des assiégés auraient tué les autres avant de se suicider eux-mêmes. Tous seraient morts à l'exception de deux femmes et cinq

Garizim. Les Sadducéens, en partie massacrés, perdent toute influence. Les Esséniens semblent disparaître. Leur influence continue peut-être à se faire sentir dans la Diaspora où elle a pu marquer certaines communautés chrétiennes. La plupart des Zélotes disparaissent dans les combats de 66-74. Les Pharisiens se réorganisent rapidement, instituant une école et un grand conseil à Jamnia (Yabneh), près de Jaffa. Ce conseil remplace le Sanhédrin et réorganise le judaïsme autour de la Torah. Cette

aux romains : n’allant pas jusqu’à les défier, ils critiquent leurs mesures. Les Zélotes appartiennent à tous les milieux sociaux, car faire partie de ce groupe est un choix. Pour eux, politique et religion ne font qu’un. Ce qui signifie qu’étant monothéistes, ils ne veulent honorer qu’un seul Dieu. Or César impose qu’il lui soit rendu un culte personnel, ce qui suscite donc beaucoup de colère chez les zélotes. Dés lors, ils sont devenus un parti clandestin qui multiplie les attaques contre les

leur culte deviennent-ils un enjeu de pouvoir lors du second iconoclasme ? Le second iconoclasme s’installa plus naturellement dans le paysage politique byzantin et refonda ses arguments philosophiques, face auxquels des moines, des membres du parti zélote et des figures charismatiques opposèrent une résistance pacifique, amenant peu à peu à son abolition définitive, dans un contexte politique intérieur et extérieur apaisé. Après plus de trente années iconodoules, Léon V rétablit l’iconoclasme pour

de l’intégrisme au terrorisme mérite d’être examiné. Le terrorisme est un mode d’action politique fort ancien, dés l’antiquité nous trouvons traces d’actes terroristes : campagne d’assassinat de colons romains par les zélotes en Judée en 70 (avant, après ?) (Déjà), zélotes, qinim en hébreux qui signifie jaloux (même racine que Caïn), secte shiite des ashishins basée à Alamut (Iran) au XI° siècle. Quant au terme de terrorisme lui-même il est d’origine française, et apparait en 1794 dans les

Romains. Les pharisiens : « orthodoxes » de la religion juive, ils vivent dans une stricte observance des principe de la religion. Les zélotes : les « radicaux », presque terroristes, les plus ligués contre les Romains, ils défendent la religion juive. Les Galiléen ( beaucoup dans la région de Galilée). De nombreux leaders dont Jésus sont Galiléens et font partie des zélotes. Les Esséniens : sont le groupe le plus marginal qui vivent en Hermite. Les Samaritains : sont des juifs mais considérés comme différents