Zémire et Azor

En 1771, la comédie ballet Zémire et Azor de Marmontel et Grétry est représentée à Paris. La pièce reprend le mythe de la belle et la Bête qui a déjà été exploité par plusieurs auteurs au courant du XVIIIe siècle. Cette multiplication des versions et des adaptations, qu’elles soient cinématographiques ou théâtrales, édifie le conte de la Belle et la Bête au rang de conte « populaire », appartenant au patrimoine mondiale. En effet, on connait des centaines de versions dans des dizaines de pays. Dans

La belle et la bête Par Disney La Belle et la Bête, est le 39e long-métrage d'animation et le 30e « Classique d'animation » des studios Disney. Sorti en 1991, il s'inspire du conte éponyme de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, publié en 1757. resumé : Un riche marchand, père de trois filles et de trois garçons perdit ses richesses et partit vivre à la campagne avec sa famille. Un jour, en rentrant de la ville, il se perdit. Il aperçut un château et il s'y rendit pour y passer la nuit. Il

- Mangez donc, la Belle, lui dit le monstre, et tâchez de ne vous point ennuyer dans votre maison ; car tout ceci est à vous ; et j'aurais du chagrin, si vous n'étiez pas contente. - Vous avez bien de la bonté, dit la Belle. Je vous avoue que je suis bien contente de votre cœur ; quand j'y pense, vous ne me paraissez plus si laid. - Oh dame, oui, répondit la Bête, j'ai le cœur bon, mais je suis un monstre. - Il y a bien des hommes qui sont plus monstres que vous, dit la Belle, et je vous aime

d'adaptation de l'opéra-comique de Monsigny, Philidor ou Duni. En 1779, Grimm écrit dans sa correspondance il n’y a jamais eu de compositeur qui ait su adapter plus heureusement que Grétry la mélodie italienne au caractère et au génie de notre langue. Zémire et Azor, une comédie ballet à grandes dépenses a un tel succès qu'il obtient une rente royale. Il obtient également une rente, sur ses droits, de la Comédie Italienne. Les oeuvres de Grétry sont jouées dans diverses villes de France, à Bruxelles, en Allemagne

conservatoire du VIIème arr. de Paris et dans les CRR de Paris et Tours, dans les classes de chant lyrique, baroque et renaissance. Elle a chanté avec, entre autre, l’Ensemble Vocal du Maine/A sei voci, Pygmalion et joué le rôle de Fatmé dans Zémire et Azor, comédie ballet de Grétry, mis en scène par Alexandra Rubner. Actuellement, elle se produit dans divers festivals en France et à l’étranger avec : la compagnie de l’Escarboucle pour le répertoire de la Renaissance (bals et concerts) ; en ensemble

mise en scène par Nicolas Vial. Elle a créé récemment au Centre Culturel Suisse à Paris un projet contemporain, Lost Generation, portrait imaginaire de l'écrivain Annemarie Schwarzenbach, et envisage la mise en scène d'une oeuvre opératique, Zémire et Azor, de Grétry avec l'ensemble Les Lunaisiens. Dans une réflexion commune avec le TridentScène Nationale de Cherbourg, Alexandra Rübner proposera une méditation théâtrale sur la mélancolie, dont le premier volet, les Contes d'un Buveur d'Ether, explorera

physique qu’il lui inspirait. – Comment peut-on ne pas aimer la musique ? répétait Octave d’un air d’extase, afin de lui être agréable. Alors, elle s’assit. Un recueil d’anciens airs était ouvert sur le pupitre. Elle avait choisi un morceau de Zémire et Azor, de Grétry. Comme le jeune homme lisait tout au plus ses notes, elle le lui fit d’abord déchiffrer à demi-voix. Puis, elle joua le prélude, et il commença. 398 Du moment qu’on aime, L’on devient si doux. – Parfait ! cria-t-elle ravie, un

physique qu’il lui inspirait. – Comment peut-on ne pas aimer la musique ? répétait Octave d’un air d’extase, afin de lui être agréable. Alors, elle s’assit. Un recueil d’anciens airs était ouvert sur le pupitre. Elle avait choisi un morceau de Zémire et Azor, de Grétry. Comme le jeune homme lisait tout au plus ses notes, elle le lui fit d’abord déchiffrer à demi-voix. Puis, elle joua le prélude, et il commença. Du moment qu’on aime, L’on devient si doux… – Parfait ! cria-t-elle ravie, un ténor, il

repulsion physique qu'il lui inspirait. —Comment peut−on ne pas aimer la musique? repetait Octave d'un air d'extase, afin de lui etre agreable. Alors, elle s'assit. Un recueil d'anciens airs etait ouvert sur le pupitre. Elle avait choisi un morceau de Zemire et Azor, de Gretry. Comme le jeune homme lisait tout au plus ses notes, elle le lui fit d'abord dechiffrer a demi−voix. Puis, elle joua le prelude, et il commenca. Du moment qu'on aime, L'on devient si doux.... —Parfait! cria−t−elle ravie, un tenor, il