Zénon

ni l'autre ne peuvent être confondus avec « les Actes de Barnabé » qui racontent l'histoire des voyages de Barnabé le martyr et son enterrement. On pense que ce dernier a été écrit à Chypre un peu après 431. En 478, durant le règne de l'empereur Zénon, l'archevêque Arthémios de Chypre annonça que l'endroit où Barnabé avait été enterré en secret lui avait été indiqué en songe. On prétend que le corps du saint a été découvert avec sur sa poitrine une copie de l'évangile selon Mathieu ; c'est ce que

ont réfuté toute forme de domination politique et ont constamment cherché à établir un ordre nouveau dans lequel le pouvoir n’a pas sa place, ou du moins une place largement minorée. Le cynisme de Diogène, l’épicurisme d’Epicure et le stoïcisme de Zénon ont toujours contesté l’établissement d’une structure sociétale fondée sur le pouvoir dans la mesure ou l’unité qui est naturelle ne peut s’établir sous le commandement de la cité donc du pouvoir politique. Cette idée est corroborée par les théories

abouties du XXe siècle et reflètent à ce titre la profonde crise de la pensée humaniste qui a suivi les deux guerres mondiales. Ces romans représentent une véritable méditation sur le devenir du savoir et de la sagesse dans un temps de bouleversements : Zénon, le héros de L’Œuvre au noir, incarne l’humaniste aux prises avec la violence du monde et son parcours tortueux à travers le XVIe siècle fait écho à la situation de l’intellectuel au XXe siècle. L’érudition historique et la densité philosophique n’excluent

manque jamais de prévoyance en ce qui concerne l'avenir. Il n'y a que le Hadès auquel il ne puisse échapper, mais il a trouvé des remèdes aux maladies dangereuses."(Antigone, 334-356) La notion de progrès a été développée par les stoïciens, dès Zénon de Citium (vers 300 av. J.-C.) et surtout Posidonios d'Apamée. Sénèque considère le progrès technique - pas le progrès des connaissances - comme un danger pour la vie morale, puisque son moteur est l'amour du luxe et du plaisir.[1] Jacqueline de Romilly

en Asie comme en Europe. La démarche comparatiste de Montaigne permet donc de relativiser ce phénomène. Enfin Montaigne mobilise deux autorités afin de justifier cette pratique qui semble injustifiable : celle des philosophes stoïciens Chrysippe et Zénon de Cittium et celle de la médecine (l. 35, l. 43). Le discours de Montaigne combine donc deux points de vue : l’observation empirique des mœurs (perspective ethnographique) et le recours à la littérature savante (perspective humaniste). En émaillant

11). — 9· Les racines de la Terre s'enfoncent à l'infini par en bas; en haut, elle a été solidifiée par l'air et le feu. — 11. La position de la Terre est primordiale, car ses racines vont à l'infini. — Pythagore, Empédocle, Xénophane, Parménide, Zénon, Mélissos, Anaxagore, Démocrite, Métrodore, Protagoras, Platon : Les sens sont trompeurs. — Xénophane et Epicure suppriment la divination. TERTULLIEN (De anima, 43, Vors. 54, 30). — Anaxagore et Xénophane attribuent le sommeil à l'épuisement. FRAGMENTS

connaît une profonde mutation grâce au développement des nouvelles technologies de l’information, mais aussi le secteur se professionnalise avec des acteurs formés pour répondre à la complexité croissante de cette activité. Intervenants : Melle Zenon Ancienne étudiante, diplômée de la formation. créatrice de FEERIE’S Communic@tion M. MARIE-CLAIRE (collectivité locale)* Ancien étudiant, diplômé de la formation en étant en poste à la Mairie de Port-Louis M. Tacita Responsable de qualistat

rien ne résiste à sa dent. A son haleine, l'âme et la lumière aidant, L'obscure énormité lentement s'exfolie. Il met sa force sombre en ceux que rien ne plie; Caton a dans les reins cette syllabe: NON. Tous les grands obstinés, Brutus, Colomb, Zénon, Ont ce mot flamboyant qui luit sous leur paupière: ESPÉRANCE! -- Il entr'ouvre une bouche de pierre Dans l'enclos formidable où les morts ont leur lit, Et voilà que don Juan pétrifié pâlit! Il fait le marbre spectre, il fait l'homme statue.

le neuvième successeur du mathématicien et qu’il fut l’élève d’Archytas l’Ancien. Il rapporte[16] également que l’Athénien aurait appris la philosophie spéculative et la physique chez les pythagoriciens d’Italie et les fondements de la logique avec Zénon et Parménide, les « Eléates » de l’école pythagoréenne[17]. On peut voir ici les éléments biographiques concernant cette période que précise l’auteur. 1. Analyse comparative Ce qui est intéressant à travers tous ces textes

27 est consacré à la suite de Fibonacci, avec comme point de départ le nombre de faux bourdons dans une population d’abeilles. Nous avons aussi suivi les directives du programme en consacrant un TP (page 28) à un célèbre paradoxe : le paradoxe de Zénon. Un dernier TP aborde enfin des théories économiques plus complexes : l’oscillateur de Samuelson. Nous sommes cependant conscients que, dans ce domaine, les modèles proposés sont stimulants pour l’esprit mais s’avèrent sans doute peu aptes à autoriser