Zéphyr

l'arrière plan largement déployée vers l'horizon. Ce tableau est composé en triptyque. En effet, placée au centre, mise en valeur par le travail de la lumière, la déesse est prise en main par les personnages qui sont à ses côtés. A gauche, sont placés Zéphyr et sa femme, les corps entrelacés accentués par la couleur verte des ailes du Dieu et la cape de la nymphe et à droite une Heure (l'une des filles de Zeus, ici la déesse du printemps). Les personnages apparaissent plaqués sur un décor qui représente

Si j'étais la feuille que rouleL'aile tournoyante du vent,Qui flotte sur l'eau qui s'écoule,Et qu'on suit de l'oeil en rêvant ;Je me livrerais, fraîche encore,De la branche me détachant,Au zéphyr qui souffle à l'aurore,Au ruisseau qui vient du couchant.Plus loin que le fleuve, qui gronde,Plus loin que les vastes forêts,Plus loin que la gorge profonde,Je fuirais, je courrais, j'irais !Plus loin que l'antre de la louve,Plus loin que le bois des ramiers,Plus loin que la plaine où l'on

c’est donc ici une image redondante de Vénus. C’est aussi un signe de Fécondité liée à l’eau. La coquille, comme la perle que contiennent certaines coquilles, symbolise le mariage en Grèce à cause de sa forme analogique avec le sexe féminin. Zéphyr, fils d’Éos (l’Aurore), vent d’Ouest (en réalité violent et pluvieux, mais doux et agréable en poésie) est uni au principe féminin pour signifier que le souffle vivifiant a une double polarité qui unit l’Amour à la Beauté. L’Heure symbolise la

née mer où Saturne jeter organes sexuels poussée par vent sur île de Cythère, puis Chypre - Mars : amant, Vulcain : mari => Vulcain découvre Mars - Amour : fils de Vénus => apparaît bcp tblx - Zéphyr => vent pousse Vénus île - Vénus pudique - née coquillage - colombe = Vénus Fiche de lecture n.2 - Psyché - fille roi et rène - ombrage à vénus car plus belle - jouit pas

Rachel Zéphyr Blair Dis-moi c’est quoi ta toune. Jean Pierre Ferland est né en 1934, ici, à Montréal. Il a grandit dans une famille traditionnelle québécoise où la religion avait une place primordiale. Jean Pierre Ferland a toujours été un fils à maman puisqu’il n’appréciait pas spécialement son père. Armand Ferland était un homme dur, strict, un homme d’honneur conservateur. Jean Pierre Ferland grandit et évolue donc à l’époque de la grande noirçeur sous l’autorité de Maurice Duplessis et Paul

corps » - « le cacher » - « L’élèvent » - « Le portent » - « L’ont déposé »). - Solennité de « mo-nu-ment » à la rime avec l’adverbe « mollement » + idée que le poème est une épitaphe. 22 L'ont, au cap du Zéphyr, déposé mollement. 6-3-3 - Indication géographique qui vaut surtout par l’onomastique : Zéphyr est en effet le dieu des vents (d’où le lien avec le vers 12). - « résonance virgilienne » de « mollement » = idée d’une lenteur sacré, d’un soin (« déposé ») et d’un respect accordé à la défunte et à

présence des quatre éléments, dont l'union harmonieuse est source de fertilité pour tout le pays. Ainsi, la région est irriguée par « le fleuve Bétis », le feu et l'air se modèrent mutuellement : « L'ardeur de l'été y est toujours tempérée par des zéphyrs », et : « La terre, dans les vallons et les campagnes unies » est travaillée. Ainsi, la végétation de la Bétis est luxuriante, comme en témoigne l'accumulation de végétaux dans la phrase suivante : « Les chemins y sont bordés de lauriers, de grenadiers

connaîtrez tout à l'heure. Je n'en dis pas plus. Je me tais. Motus. Qu'il me suffise de vous indiquer que nous nous trouvons, par un beau soir de printemps (il montre la branche d'arbre en fleur), dans le manoir du baron de Z... Zède comme Zèbre, comme Zéphyr... (Il rit bêtement.) Mais chut ! Cela pourrait vous mettre sur la voie. Comme vous pouvez l'entendre, le baron et sa charmante épouse donnent, ce soir, un bal somptueux. La fête bat son plein. Il y a foule au manoir.On entend soudain la valse qui

pierre Qui couvre un rustique tombeau. Adieu, vallons; adieu, bocages ; Lac azuré, rochers sauvages, Bois touffus, tranquille séjour, Séjour des heureux et des sages, Je vous ai quittés sans retour. Déjà ma barque fugitive Au souffle des zéphyrs trompeurs, S'éloigne à regret de la rive Que n'offraient des dieux protecteurs. J'affronte de nouveaux orages ; Sans doute à de nouveaux naufrages Mon frêle esquif est dévoué , Et pourtant à la fleur de l'âge, Sur quels écueils, sur quels rivages

Je ne suis pas restée indifférente devant ce décor d’une harmonie étonnante Les terres généreuses et fertiles, le bleu inépuisable du ciel, le chant intarissable du fleuve, les courbes majestueuses de vos montagnes. Je regretterais la caresse des zéphyrs transportant calmement avec eux les doux parfums de vos fleurs multicolores et de vos arbres fruitiers. Avant mon séjour ici, on m’a appris vos grandes vertus, votre amour pour la nature et la simplicité, vos valeurs pures. C’est pourquoi j’ai voulu