Zola Dénonciation De La Société

massacre. Cependant, les auteurs l'ont utilisée afin d'exposer leurs prises de position. II- L'écriture engagée Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits. A- Les moralistes • Souvent dans l'histoire, les écrivains sont intervenus dans la vie publique. Développez un exemple.: • Ex : Cf. Manifeste d'Eluard

savoirIdées-idéaux-pensées-valeurs-visionX-analphabétisme-bouclier (ça ne rentre pas trop dans le thème)Inefficace :-impuissante-inopérant-infructueux-inutile, vainAbandonner :-attaquer/dénoncera)Des combats gagnés (justice) → ‘’J’accuse’’ de Zola : montre l’efficacité de la Littérature à faire justice → Au Bagne d’Albert Londres : a permis la fermeture des bagnes →

cherche à éveiller l’intérêt du lecteur par la peinture des mœurs, l’analyse des caractères et la singularité des aventures. » Au XIXème siècle, le roman est aussi beaucoup utilisé comme instrument pour critiquer la société : les plus grands auteurs dénonciateurs furent Victor Hugo et Emile Zola. Le roman est une œuvre imaginée, mais les auteurs du XIXème siècle, utilisèrent pour créer leurs personnages, les mœurs de leur temps. Pour commencer, l’écrivain a souvent recours à la description, afin de présenter

a curée ou les « appétits lâchés » Zola donne à son roman un titre métaphorique : le mot « curée » renvoie à un terme de vénerie qui désigne la partie de la bête que l’on donne en pâture à la meute, sur le cuir même de la bête que l’on vient de dépouiller. Par extension, dès le XVIe siècle, la curée désigne une ruée avide vers les biens, les places et les honneurs laissés vacants par la chute d’un homme. Trois occurrences du mot sont présentes dans le roman : « ses narines battaient, son instinct

dénoncer une situation => les ouvriers Il va transformé la réalité en plaidoyer Il prend position : Grâce à ces interventions : 1) Antiphrase => critique des prisons alors que sois disant améliorations au 19ieme 2) Dénonciation de l'indifférence des gens 3) Dénonciation de la société qui n'éduque pas et de la justice expéditive En créant des personnages manichéens 1) C.G. => romantique type 1 ( combat la Justice) 2) Le directeur => le méchant => idéalisation du portrait physique et moral =>

intellectuelle ou religieuse du moment. On dit d’une œuvre qu’elle est engagée lorsqu’elle présente certaines opinions ou prises de position de son auteur sur un sujet donné. Par le biais de son texte, un écrivain peut critiquer certains aspects de la société, dénoncer une situation qui le dérange ou encore défendre une cause qui lui tient à cœur. Auteurs engagés XVIe siècle - Théodore Agrippa d'Aubigné - Les Tragiques (recueil de poésies) XVIIe siècle - Jean de La Fontaine - Fables : La cour du

Frédéric | |Pantagruel (mais ce sont des contes) |Moreau dans L'Education sentimentale | | |Ceux de Maupassant, de Zola | |XVIIème:Les héros amoureux des romans précieux... | | |L'héroïne du roman d'analyse: La Princesse de Clèves de

romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits. A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire, il veut dénoncer les défauts des hommes, leur en faire prendre conscience ; il critique aussi des faits de société (ex : Les Précieuses ridicules)

personnages eux mêmes, tout en misant sur l'écriture pour rendre avec précision la réalité. Ce qui rend le cadre du récit réaliste, c'est avant tout un travail d'enquète. L'exemple le plus connu d'écrivain investigateur est bien évidemment Emile Zola, qui se documentera toujours avant d'entamer son récit. Ainsi, adepte de la théorie de l'hérédité, il fera de celle ci le fil conducteur de son cycle "Les Rougon-Macquart", qui met en scène "L'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second

romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits.             A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire, il veut dénoncer les défauts des hommes, leur en faire prendre conscience ; il critique aussi des faits de société (ex : Les Précieuses ridicules)