Zola Racine Critique Société

productions humaines - au premier chef l'art - sont régies par des lois universelles et éternelles. La beauté est une et absolue - l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter - auteurs : * tragédie : Corneille, Racine * comédie : Molière * philosophie : Pascal * satire : La Bruyère, La Fontaine * roman : Madame de La Fayettte XVIIIème : Les Lumières Les Lumières - lutte contre les abus politiques et sociaux - remise en question fondées sur la « raison

LA FAMILLE 1. Déclin de la famille traditionnelle. Histoire de la famille indissociable de celle de l'Histoire formes familiales dépendantes de la situation culturelle, politique et éco de la société Famille ancienne --> famille hiérarchique, autorité d'un chef (ancêtre), axée sur la solidarité obligée, transmission des biens et des valeurs, essentiellement rurale Liens renforçés par le travail réalisé en commun --> type de famille patriarcal au service de la reproduction sociale La

révolution de 1830 puis 1848 Des écrivains s'engagent : Lamartine, Hugo sont députés, Vigny se présente aux élections, Lamartine devient chef du gouvernement provisoire en 1848, G. Sand joue un rôle la même année, Napoléon III est grandement critiqué dans Les Châtiments de Hugo. 2- Aspects socio-économiques Progrés industriel notamment dû à la machine à vapeur Capitalisme : développement des opérations bancaires=>bourgeoisie devient classe dominante Question sociale : accroissement

l’époux que tu me veux donner » (Racine). 4 Les figures par opposition Elles mettent en relation des termes ou des idées qui s’opposent par le sens. L’oxymore. Deux termes s’opposent par le sens au sein d’un même groupe syntaxique : « Le soleil noir de la mélancolie » (Gérard de Nerval). L’antithèse. Deux termes de sens contraire s’opposent au niveau de la phrase ou d’un ensemble de phrases : « Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants » (Racine). L’antiphrase. Cette figure

naissance d'une nouvelle classe sociale: prolétariat. Différence entre classes sociales qui s'accentue. Forte croissance économique en France, argent commence à dominer la société. Le réalisme dans la littérature: Le réalisme est avant tout un mouvement littéraire. Les auteurs réalistes souhaitent dénoncer les défauts de la société, en restant objectif. Ainsi émergent les ouvriers, les artisans ou encore les prostituées dans le roman. Les thèmes abordés concernent l’influence du milieu sur les individus

peintres p.17 1ère partie : Des mouvements et des hommes : Définition et origine des mouvements : Le réalisme : C’est à partir de la seconde moitié du XIXème que le mot réalisme est couramment utilisé pour la critique artistique. En effet, c’est la rupture avec la société bourgeoise du Second Empire, et le romantisme, qui n’intéresse plus à force de quitter le réel et de vivre dans un univers imaginaire, souvent excessif et invraisemblable, qui est à l’origine du mouvement réaliste. Celui-ci

regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L'Éducation sentimentale (1869), ou le recueil de nouvelles Trois contes (1877). ALBERT COHEN : Albert Cohen, né à Corfou, 16 août 1895, mort à Genève le 17 octobre 1981, est un poète, écrivain et dramaturge suisse romand dont l'œuvre est fortement influencée par ses racines juives. Son nom a été évoqué pour le prix Nobel de littérature

grecs de l'Antiquité ainsi que la découverte de l'imprimerie par Gutenberg. • La foi en l'homme. Les humanistes veulent rendre l'humanité meilleure, ils cherchent à acquérir de la sagesse. • La réflexion politique. les humaniste veulent créer une société idéale, se sont des pacifistes. Les principaux textes humanistes sont Eloge de la folie de Erasme, écrit en 1509, Utopie de Thomas More, écrit en 1516, ou encore Les essais de Montaigne, en 1580. Le baroque (1580 - 1665) Les plus grands auteurs

caractérisaient le romantisme, les écrivains réalistes se donnent pour but de représenter fidèlement la société de leur temps, même dans ses détails les plus sordides. C'est, par exemple, le projet de Balzac lorsqu'il s'attelle à La Comédie humaine (1841), vaste ensemble de romans qu'il considère comme « le plus grand magasin de documents que nous ayons sur la nature humaine ». Le naturalisme, avec Zola comme figure de proue, s'inscrit dans le prolongement de ce réalisme militant. Il entend dresser le

volonté de faire du roman un « miroir » c’est-à-dire un simple reflet de la réalité sociale et politique d’une époque dans toute sa dureté. Stendhal a d'ailleurs écrit que « le roman, c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin ». Dans Racine et Shakespeare, il assigne pour devoir à l'art romantique de faire un art qui sera en adéquation avec les goûts et tendances des peuples. Le réalisme de Stendhal c’est d’abord la volonté de peindre des faits capables d’intéresser ses contemporains