Zone d'exclusion aérienne

crise libyenne, l’OTAN a accru, dès le 8 mars 2011, ses opérations de surveillance en Méditerranée. L’Alliance a déployé dans la zone des aéronefs de son système aéroporté de détection et de contrôle (AWACS) pour assurer une observation continue. Ces « yeux dans le ciel » ont permis à l’OTAN d’acquérir des informations détaillées sur les mouvements dans l’espace aérien libyen. Deux jours plus tard, l’Alliance faisait converger en Méditerranée des navires appartenant aux moyens actuels de l’OTAN,

vert avec la couleur bleue des Nations Unies.10 72 En outre, la MINUAD ne dispose ni du mandat ni des forces nécessaires pour mettre un terme aux opérations aériennes du gouvernement soudanais contre les civils. Tant qu’elle ne dispose pas de soldats correctement équipés et formés ou des moyens lui permettant d’arrêter les frappes aériennes contre les cibles civiles, la MINUAD continuera d’échouer ; il est clair que les opérations de maintien de la paix au Darfour doivent changer pour mettre un terme

résolution du Conseil de sécurité des Nations unies adoptée le 17 mars 20111,2. Elle concerne la Jamahiriya arabe libyenne et la révolte alors en cours contre le régime de Mouammar Kadhafi, et permet aux pays qui le souhaitent de participer à une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye pour protéger la population civile, et de « prendre toutes mesures nécessaires, nonobstant le paragraphe 9 de la résolution 1970 (2011) (voir (en) Résolution 1970), pour protéger les populations et les zones civiles

Suite aux répressions, par les forces du colonel Kadhafi, de plusieurs manifestations contre le régime libyen, les Nations Unis réagissent pour instaurer une zone d’exclusion aérienne dans l’espace aérien libyen par la force. Une coalition internationale entreprend ses premières frappes aériennes contre la Libye. L’opération aérienne en Libye était elle inévitable? SOMMAIRE INTRODUCTION PREMIÈRE PARTIE : LES OBJECTIFS DE L’OPERATION MILITAIRE EN LIBYE 1- Les objectifs

alors une zone géographique, la nature des avions concernés, et des règles pour engager la force en cas de violation. En Irak, à l'issue de la guerre du Golfe, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France avaient pris une décision plus contestée au plan du droit international, car adoptée hors du chapitre VII. Le secrétaire général, Boutros Boutros-Ghali, s'y était opposé. En vue de la protection des populations kurdes et chiites, les trois pays avaient décidé de deux zones d'exclusion successives

Le conseil de sécurité de l’ONU a autorisé ce jeudi une intervention militaire internationale en Libye pour stopper les forces loyales au colonel Mouammar Kadhafi. Il s’agit plus d’une zone d’exclusion aérienne mais « toutes les mesures » peuvent être envisagées pour sauver des vies. La Russie et la Chine se sont abstenues. Le Conseil de sécurité de l’ONU a franchi un grand pas dans la guerre civile en Libye. Il a donné le feu vert pour une intervention militaire internationale dans le but de

CNT et appeler à l’armement de la rébellion, elle a d’abord essayé la négociation avec le colonel. Une désunion qui a rendu impossible une opération militaire de l’UE. Le Parlement européen a alors invité les Etats membres à instaurer une zone d’exclusion aérienne et le Conseil a lancé EUFOR Libya, mission militaire de protection des missions humanitaires. Néanmoins, ceci fait suite à une requête du Bureau des Nations Unies pour la Coordination des Affaires Humanitaires, alors que la résolution 1973

sécurité a adopté la résolution 1973, qui autorise les Etats membres à prendre toutes les mesures nécessaires afin de protéger les populations civiles en Libye contre les attaques des forces loyales à Mouammar Qadhafi, dont l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne. Le 26 février, le Conseil de sécurité avait également adopté la résolution 1970 qui a décidé d'une saisine de la Cour pénale internationale et de sanctions contre les autorités libyennes, dont un embargo sur les armes, une interdiction de

Alger. 16 février: Début des manifestations en Libye. 18 février: La police ouvre le feu sur des manifestants au Bahreïn. 14 mars: Arrivée de troupes d'Arabie Saoudite au Bahreïn. 18 mars: Le Conseil de sécurité vote en faveur d'une intervention aérienne en Libye. 19 mars: Début des bombardements des forces occidentales en Libye. Premières manifestations en Syrie. 26 mars: En Libye, les rebelles gagnent Ajdabiya. 29 mars: Le président syrien promet des réformes. 4 avril: Les forces yéménites

l'année dernière avec la législation anti-corruption historique promulguée au Brésil, Avaaz insuffle une nouvelle force à ces dynamiques. ONU: Zone d'exclusion aérienne en Libye Un massacre évité en Libye avec l'aide d'un million de messages au Conseil de Sécurité. Nos messages réclamaient des sanctions, un gel des avoirs et une zone d'exclusion aérienne imposée par la communauté internationale pour protéger les civils en Libye. Nous nous sommes fait entendre: l'Ambassadeur des Etats-Unis à l'ONU