Zootrope

tourne, on a l’impression que les images sur le disque en rotation sont en mouvement. Ces images, en fait, constituent les différentes phases d’une animation ; lorsque l’œil les voit se succéder à la bonne vitesse, il en fait une synthèse. Le zootrope a été conçu simultanément par l’anglais William Horner en 1833 et l’autrichien Stampfer en 1834. Sur une bande de papier blanc, on dessine la décomposition d’un mouvement que l’on dispose ensuite dans un tambour avec autant de fentes que d’images

 découvert en 1829 que la  rétine  mémorise une image plus longtemps que ce qu'elle ne la voit. Ainsi  se succédèrententre autres , le Thaumatrope, le Phénaskistiscope, le Zootrope, le Praxinoscope... En 1891, le Kinétoscope de l´Américain Thomas Edison permettait même de visualiser un film mais le système imposait au spectateur de le regarder  seul ,  debout

rapidement les pages avec le pouce de la main droite, aussitôt le dessin s'anime. C'est l'une des applications les plus élémentaires du principe de la persistance rétinienne. • Le Zootrope: C’est un jouet optique inventé en 1834 par William George Horner. Se fondant sur la persistance rétinienne, le zootrope permet de donner l'illusion de mouvement. Conclusion: Le XIXéme siècle était donc pour certains savants un pas vers la mise en place d’images animées. Suite à ces différentes inventions

plus indispensable à l’être humain. En poursuivant ma visite, je suis passé dans la salle des formes en mouvements. Les images sont expliquées à partir des premiers outils utilisés pour le mouvement de l’image : Avec des phénakistiscopes, des Zootropes dons l’un était d’une grande dimension, d’autres dispositifs de ce genre. Un projecteur manuel était placé au milieu de cette pièce, j’ai pu le tourner pour faire avancer et reculer une animation. Cela m’a aidé à comprendre le mouvement de l’image

disque, représentant les étapes successives d'un mouvement simple. Le disque tourne autour d'un axe central, et une fente permet de voir les images qui défilent rapidement, donnant à voir l'animation qui se répète. Dix ans plus tard, HORNER crée le Zootrope, basé sur le même principe ; mais cette fois les images sont dessinées sur une bande circulaire placée à l'intérieur d'un cylindre. En 1877, REYNAUT étend - littéralement - l'idée, en remplaçant la bande fermée par une pellicule beaucoup plus longue

d’avoir su perfectionner les procédés existants de reproduction du mouvement. Le phénomène de la persistance rétinienne, découvert au XVIe siècle, a déjà suscité moult jouets optiques : lanternes magiques, phénakistiscope basé sur la stroboscopie, zootrope avec son tambour à fentes, praxinoscope et son miroir à facettes… Parallèlement à la mise au point par le Français Marey du fusil chronophotographique, qui prend 12 images/seconde, Thomas Edison invente, aux Etats-Unis, le film perforé et le kinétoscope

Différents appareils ont été construits sur la base de ce principe : o      Le Phénakistiscope (J. Plateau, 1829), o      Le stroboscope (Simon Von Stampfer, 1829), o      Le Zootrope ou Tambour magique (Hörner, 1833), o      Le strboscope projecteur (S. Von Stampher, 1845), o      Le Phantascope (Docteur Lake, 1832), o      Le Kinétoscope (Docteur Von

de son. Depuis son invention, le cinéma est devenu à la fois, un divertissement, une industrie et un media. I) L’histoire du cinéma En 1826, Nicephore Niepce fixe la première image photographique sur une plaque. En 1834, création du zootrope de Horner. (c’est un jouet optique) En 1889, George Eastman invente la pellicule en celluloïd. En 1894, William Dickson lance le kinescope (c’est une caméra spéciale destinée à enregistrer l'image qui apparaît sur un moniteur vidéo sur une pellicule

en regardant à travers les fentes, on a l’illusion de la constitution d’un mouvement naturel sur le disque des dessins. 1877 : le praxinoscope de Emile Reynaud est une amélioration de toutes les autres inventions précédentes. Il reprend le zootrop auquel il ajoute des miroirs en face des dessins sur l’axe de rotation et ainsi il permet au spectateur d’observer l’animation sans avoir à regarder à travers les fentes du cylindre. Il n’est hélas constitué que de 12 dessins et miroirs mais c’est

ballons est consacrée à l'expérience interactive où les visiteurs peuvent expérimenter activement avec toutes sortes de techniques d'animation comme écran bleu, stop motion, dessin, création d'émotions, etc. Le noyau attraction de cet espace est un zootrope gi gantic 3D. Le routage du musée permet de courtes ou longues visites, visites au cinéma, l'exposition temporaire ou la terrasse du restaurant sur le toit. La façade du musée est recouvert d'un allégement de la bande dessinée se référant à un vase