éloge De La Beauté Féminine

mariage et la fidélité, avant de se lancer dans un éloge du changement et de la conquête amoureuse. Comment parvient-il à justifier l’injustifiable ? La première des séductions n’est-elle pas déjà celle de ses mots et de son discours ? La première de ses conquêtes n’est-elle pas celle du lecteur/spectateur ? Dans une première partie, on étudiera le réquisitoire de Dom Juan contre toute forme d’engagement avant de comment dans une deuxième partie son éloge du changement et de la conquête qui s’appuis

négativement => rapport à la laideur ( à l’époque ) et à connotation satanique Le projet de Bdlaire est ici de faire de la boue en or (la «  boue » étant ici la mendiante ) . Il veut derrière la laideur voir la beauté des choses Cela s’illustre dans les trois premiers quatrain I) Un éloge paradoxale ( analyse des trois premières strophe)gsy=>pronom relatif « dhvcv »=> début et fin de la subordonnée relative fvfv=>principale Bdlaire porte son regard sur les vêtements => «  la robe » qui

depuis des siècles, la figure féminine est associée au thème de l'amour à travers différents poèmes. On peut donc se demander alors si l’évocation de la figure féminine de la poésie ne sert qu’à l’expression d’un lyrisme amoureux. Autrement dit, est ce que l’évocation de la femme en poésie est forcément lié au thème de l’amour ? La figure féminine dans la poésie n’a pas un autre objectif ? C’est pourquoi nous verrons dans un premier temps que l’évocation de la figure féminine sert à l’expression d’un

Plan I- Un portrait élogieux a) portrait qui souligne beauté de la femme b) éloge à la féminité c) éloge de la maternité II- Un chant engagé a) Une femme visionnaire et médiatrice b) Une adresse à une communauté c) Un hommage aux victimes de la tragédie (Intro :)Les poètes issus du mouvement surréaliste, confrontés aux horreurs de la guerre, prennent position et s’engagent politiquement en publiant des textes qui, sans abandonner complètement les

deux tercets avec trois rimes différentes : les deux premiers vers sont suivis et le dernier vers de chaque tercet rime avec l’autre. Ce poème de Ronsard est un sonnet. Cassandre : C’était une princesse troyenne, elle était réputée pour sa grande beauté et fut aimée d'Apollon, elle se promit à lui en échange de l'apprentissage de l'art de la divination. Après avoir acquis le don de prophétie, elle n'accorda à Apollon qu'un simple baiser en se moquant de sa naïveté. Alors le dieu, qui ne pouvait reprendre

LE SERPENT QUI DANSE Proposition de corrigé: Baudelaire, dans sa vie comme dans son œuvre, a toujours été subjugué par la beauté féminine. Une femme en particulier, à la troublante beauté, devient sa maîtresse et sa muse : Jeanne Duval. De nombreux poèmes des Fleurs du mal lui sont consacrés, dont l’un des plus célèbres, « Le Serpent qui danse ». Abandonnant la forme traditionnelle du sonnet, Baudelaire opte pour une strophe hétérométrique qui lui permet de rendre compte de l’envoûtante danse de

plates puis embrassées ; alternance rimes féminines et masculines ; alexandrins. Dans ce texte, Ronsard déclare son amour à Hélène et tente de la séduire. Comment Ronsard s’y prend-t-il pour déclarer son amour et tenter de séduire Hélène ? Nous étudierons dans un premier temps en quoi sa déclaration d’amour est originale puis dans un second temps nous nous intéresserons à la stratégie de persuasion utilisée pour séduire Hélène pour enfin monter un éloge non pas de la femme aimée mais du poète

Julia pirez. Ps3 OBJET D’ETUDE N.1 : LA POESIE Comment se fait la célébration du corps féminin en poésie ? QUESTION DE CORPUS. Le corpus qui nous est proposé nous invite a travailler sur 5 textes. A savoir ( Les regret sonnet 91, 1556 de Du Bellay ; Le Beau Tétin, 1535 Clément Marot ; Blason de l’œil, 1547 de Saint-Gelais ; La courbe de tes yeux, 1926 de Paul Eluard ; Le blason, 1960 de George Brassens ). Ces textes ont pour thème commun la femme aimée. Il s’agit de savoir quelle image de la femme

plus volontiers les beautés du « microcosme » féminin. Le blason étudié se nomme « Le Front ». Il sera intéressant de se demander comment par la description d’une partie du corps, le poète peut-il arriver à faire un éloge de la femme ? Afin de répondre à cette question, dans un premier temps nous allons nous intéresser à l’éloge de la femme idéale fait au travers de ce blason puis dans un second temps, nous verrons comment le poète passe du portrait de la figure féminine à la cosmogonie. Conclusion

étape : le plan I- Un éloge amoureux… a) La célébration de la beauté de Caliste b) Une femme idéale c) La beauté personnifiée II- … qui aboutit au bouleversement du poète… a) La présence du poète et de la femme aimée b) Un poète subjugué c) L’amour, un danger III- … qui le conduit à l’écriture de poème (la femme prétexte à l’art poétique) a) Le sonnet b) Le blason c) Une poésie du siècle classique I/ Un éloge amoureux a) La célébration de la beauté de Caliste  Répétition