énigme Et Paradoxe

− les méthodes à utiliser ; − les questions pertinentes ou non. Ce consensus est désigné par Kuhn par le terme "paradigme". La plupart du temps, les scientifiques travaillent tous au sein du même paradigme et cherchent à résoudre des énigmes très spécialisées. Ce cadre général définit une "science normale". De temps à autre, il se produit des révolutions scientifiques. Dans le fonctionnement de la science normale, les membres de la communauté finissent toujours par détecter des anomalies

Philosophie de l’art - Diderot – Présentation artistique de Diderot, notamment la peinture. Mettre en évidence le contexte de la pensée. On range que la catégorie philosophique l’art. L’essentiel est d’avoir un rapport à l’art pour parler de philosophie de l’art. Introduction Il est né en 1713 et il meurt 1784 . Diderot, n’est pas essentiellement connu pour son intérêt de l’art, et de la peinture, c’est ce qui le singularise. Plus encore

économique qualifierait de non économique. Une énigme a longtemps persistée : le Paradoxe du diamant et de l’eau. Le paradigme classique qui défendait la théorie de la valeur fondée sur les facteurs de production était incapable d’expliquer pourquoi l’eau qui est essentielle à la vie est généralement disponible à un coût modeste tandis que le diamant, un bien clairement superflu est onéreux. L’analyse marginaliste permit de résoudre cette énigme. II – La question de la valeur. Au XVIIIème siècle

l’injustice est ouverte pour tous. Si les inégalités économiques recommencent à croire depuis ces dernières années, l’égalité humaine augmente toujours. Comment la société peut-elle contenir 2 mouvements contraires ? Schumpeter avait déjà montrer ce paradoxe dans Capitalisme, socialisme et démocratie, : le nombre de domestiques n’a cessé de baisser alors que le chômage de masse aurait du entraîner un accroissement de leur nombre : même pendant la crise, le mouvement de l’égalisation sociale continue

: il suggère des significations secondes. – Une fonction séductrice : l’un des rôles majeurs du titre est de séduire le lecteur, par sa forme (images, sonorités) comme son contenu ; il suscite une attente, annonce un thème attrayant ou formule une énigme. Le titre Le Chef-d’œuvre inconnu, justifié dès la ligne 20 du récit, combine plusieurs de ces fonctions. Titre thématique, il annonce un élément majeur de l’histoire, le tableau que Frenhofer peint dans le plus grand secret. Ce portrait, Frenhofer

d'un rêve à l'autre " ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre ". - Complice, indifférente ou sujet passif ? Verlaine a enfin trouvé dans son rêve l'harmonie. Stéréotype de femme mère et de femme-femme soumise. - Sa charge de mystère - paradoxe, le poète crée la figure qu'il évoque. La femme de Verlaine est chargée de mystère. on passe à des détails (sa voix, son apparence) qui donne à cette femme un semblant d'identité. - Sa métamorphose La femme devient un monument d'espoir sculpté

lutter contre l’anachronisme. En 45 et 47 sont publiés deux livres. Le O et l’infini de Kessler et J’ai choisi la liberté de Kravchenko. Ces ouvrages à l’époque n’ont pas fait la vérité. Or aujourd’hui, ils sont des best-sellers. Pour comprendre ce paradoxe, il faut resituer ces ouvrages dans le contexte des autres textes de l’époque (où beaucoup de faux étaient produits) qui lui donnent sens. • L’histoire des concepts, école allemande dont le représentant le plus connu est Reihart Koselleck

des blanchisseurs’’ Drame Dans une Chine médiévale imaginaire, la cruelle Princesse Turandot dont la beauté est légendaire attire à Pékin de nombreux prétendants lesquels doivent se soumettre à une terrible épreuve : s’ils élucident les trois énigmes qu’elle leur propose, ils obtiendront sa main ainsi que le trône de Chine ; s’ils échouent, c’est la décapitation qui les attend. Au moment où l’exécution du prince de Perse est imminente, le Prince Inconnu arrive à Pékin et retrouve par hasard

travail de l'autre s'établit à plusieurs niveaux en interaction entre soi et le monde et dans la relation intersubjective où l'autre nous affecte caractérisant ce mouvement entre soi et soi, sur cette partie mobile capable de transformation. Le paradoxe de l'altérité est de s'opposer à l'identité et en même temps d'en être un élément central. La trame de l'identité se combine, se tisse au fil du lien social et des rencontres. Cette altérité du dedans infiltrant à son tour l'identité collective

groupes nominaux avec un article défini, un nom qui désigne une partie du corps humain et un complément du nom qui renvoie à un personnage féminin. Toutes ces femmes constituent le passé de Loup. La quête de Loup commence avec sa mère, qui constitue une énigme, et ne s’achève que dans la dernière partie qui porte son prénom. Les prénoms féminins ne sont pas classés dans ces titres chronologiquement, c’est Loup, à la fin de la pièce (page 100) qui recrée un arbre généalogique des femmes : « Odette, Hélène