état Stationnaire Smith

scientifiques” . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 1.3 L’´ conomie est-elle une science ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 5 5 8 9 I 2 La pens´ e economique jusqu’en 1870 e ´ La pens´ e economique avant Adam Smith e ´ ˆ 2.1 De l’Antiquit´ au Moyen-Age : r´ flexion essentiellement morale e e 2.1.1 La Gr` ce Antique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e A. Platon (428-348) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B. Aristote (384-322) . . . . . . . . . . .

abstraitement la réalité. Les théories permettent de dégager des paradigmes, c'est-à-dire des modèles de penser, des visions du monde. I- Les grands courants de la pensée économique. On situe la naissance de la science économique à partir d'Adam Smith, c'est-à-dire à la fin du XVIII ème siècle, qui correspond à une période de grands changements: la révolution industrielle. En réalité, il existait déjà cette pensée classique, une certaine réflexion économique. A- Les réflexions économiques avant

est estimé obsolète ; il est noté CCF, et on a la relation :) (ex : défense, police, justice, infrastructures, éducation, couvertures sociales, culture, sport,…). PIB = compteur de richesse nationale. b) Par des revenus La VA se partage en 3 : Etat (impôt sur la production) ; Salariés (salaires) ; Profits (=bénéfices). Donc, c) Par les dépenses économiques () Un flux économique est un mouvement de capitaux,…  point de départ (ressources) et d’arrivée (emplois). Emplois Ressources C.I (entreprises)

. . . 2.2.5 Les effets sur le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PLAN 3 État et politique économique 3.1 Les arguments en faveur d’un état minimal . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.1.1 Les défaillances du marchés ou Market Failures . . . . . . . . . . . 3.1.2 La surveillance du fonctionnement concurrentiel des marchés . . . 3.2 Les arguments en faveur d’un État interventionniste . . . . . . . . . . . . . 3.2.1 L’efficacité des politiques de relance par le multiplicateur

économique grecque était écrite par des philosophes s’adressant à un public doté d’une solide formation philosophique, elle concernait les problèmes d’une cité-état démocratique reposant sur le travail des esclaves. Les philosophes grecs s’attardent sur l’échange de la monnaie car il fallait approvisionner la ville qui était une cité-état. Les penseurs grecs ont montrés une attention particulière pour les aspects éthiques du prêt à intérêts et pour la vie financière en général. • La pensée médiévale

montrer, à la suite de Joseph Schumpeter2, qu’il est au contraire un maillon essentiel qui, de Boisguilbert à Keynes, constituent la filière de l’analyse monétaire. Entre les théories pré-monétaires des mercantilistes et la domination, à partir d’Adam Smith, du système classique anglais et de son analyse en termes réels, nous voulons montrer ce qui constitue la modernité de Quesnay : l’analyse de la production dans le cadre de l’interdépendance générale par la circulation des flux monétaires. 1 En

l'école classique, écrivant pourtant au commencement de la révolution industrielle, pensaient qu'aucune croissance ne pouvait être durable, car toute production devait, selon eux, inexorablement converger vers un état stationnaire. C'est ainsi le cas de David Ricardo pour qui l'état stationnaire était le produit des rendements décroissants des terres cultivables, ou encore pour Thomas Malthus qui le liait à son « principe de population », mais aussi pour John Stuart Mill16, ou John Maynard Keynes qui

Economie politique. Introduction. L'économie, la science économique d'Aristote ou l'économie politique d'Adam Smith et des auteurs classiques, est la science visant à définir la meilleure allocation des ressources, à satisfaire un certain nombre de besoins avec des biens rares. Pour les auteurs néoclassiques, c'est la recherche de la plus grande objectivité efficacité dans la création et la répartition des richesses dû à la croissance. Comme les autres sciences humaines, c'est aussi l'étude

fonctions qu’ils n’auraient pu auparavant approcher sans se rapprocher d’un courtisan ou sans promettre une certaine somme d’argent au chef…….. » IGAHAT P43-44, traduit par FATTHALLAH OULALOU op. cit.p72 Classiques Jean-Baptiste Say Adam Smith David RICARDO (1767-1832) (1723-1790) (1772-1823) John Suart MILL (1806-1873) Néoclassiques Marginalisme Karl Menger (1840-1921) Léon Walras (1834-1910) Alfred Marshall 1842-1924) F.von Hayek (1899-1992) Microéconomie

La question des limites naturelles à la croissance : Pendant des siècles, la croissance économique a également été largement tributaire de facteurs naturels (Au 18ème siècle, Ricardo pensait ainsi que l’économie irait irrémédiablement vers un état stationnaire, compte tenu de la loi des rendements décroissants de la terre). Les révolutions industrielles des siècles derniers ont cependant largement remis en cause cette hypothèse. La thèse de Malthus a en effet été démentie par les faits : Au cours des