éthique Kant Clonage

croyait aux Progrès ! Tout ce qui venait du Progrès était d’office bon. Alors qu’aujourd’hui le Progrès n’est plus d’office considéré comme bon pour au moins 2 raisons : - Raison écologique (ex : Trou dans la couche d’ozone) * Raison éthique (ex : clonage d’humains) Il ne s’agit pas de renoncer aux Progrès mais de le critiquer. On voit apparaitre aujourd’hui 2 interprétations différentes de la qualité de vie (MCI) * Invitation au consumérisme * On passe à une consommation prévoyant

l’expérience sensible. *hors, le démarche scientifique doit lier expérience et raison. B/ Le criticisme de Kant. *questions métaphysiques fondamentales: dieu existe-il? Sommes-nous libre? Y a-t-il un commencement et une fin du monde? L’âme est-elle immortelle? => pour Kant ces question sont un besoin de la raison. *la métaphysique n’est pas une sciences, les réponses sont pas connaissables. *Kant cherche à établir les limites de la raison. Pour lui il va falloir admettre que la connaissance des obj

sélection artificielle de l’espèce qui rappelle l’eugénisme. Sur quel critère de normalité un homme a-t-il droit à la vie? Les OGM permettent peut-être des progrès agronomiques ou l’étude de maladies mais ils posent le problème des xénogreffes et du clonage. Le danger de la stérilisation et de la purification du génome est l’homogénéisation et la discrimination; dans Le meilleur des mondes, Huxley imagine des classes sociales génétiquement programmées. Comment alors croire au progrès s’il débouche sur

à l’existe ce de l’homme. A partir de la définition de l’homme, où en déduit ce que sera son existence. L’homme est un être déterminé par sa nature, sa liberté est relative (alors qu’elle était absolue pour Sartre) Kant : l’homme par nature est un pétré raisonnable. Donc selon Kant l’homme à pour devoir dans sa vie, de développer sa raison naturelle Hobbes : l’homme par nature est mauvais donc à une tendance à être en conflit avec ses congénères (d’où la création de l’Etat civil qui doit instaurer

Le devoir Introduction 1 Valeur non morale et valeur morale 2 Ethique et morale 2 La logique de la morale 2 Ethique de conviction et éthique de responsabilité 2 I. Morale, religion et société 2 A. Moïse, Jésus, Mahomet 2 1. Les dix commandements 2 2. Les différences entre religions 3 3. Sécularisation et héritage religieux 3 B. La religion au service de la raison (Platon) 3 1. Ce qu’il faut dire : le devoir détermine le « vrai » 3 2. Comment

Enjeux managériaux de l'éthique des affaires 1 ère personne a utiliser le terme éthique : Aristote (-384 AJC ; -332 AJC) avec le terme « ethike » “La seule responsabilité sociale du milieu des affaires est de maximiser les profits pour ses actionnaires” –Milton Friedman, 1970 (Prix Nobel d’Economie) => Vision classique / Théorie actionnariale en opposition à la Vision Moderne / Théorie partenariale La RSE est « l’intégration volontaire des préoccupations sociales et écologiques des entreprises

Le devoir Introduction 2 Valeur non morale et valeur morale 2 Ethique et morale 2 La logique de la morale 2 Ethique de conviction et éthique de responsabilité 2 I. Morale, religion et société 3 A. Moïse, Jésus, Mahomet 3 1. Les dix commandements 3 2. Les différences entre religions 4 3. Sécularisation et héritage religieux 4 B. La religion au service de la raison (Platon) 5 1. Ce qu’il faut dire : le devoir détermine le « vrai » 5 2. Comment le dire :

désacralisation de la morale qui s´étendit sur plus d´un siècle. Depuis le début des années 1980, les questions de morale ou d´éthique sont en revanche redevenues fortement présentes dans le champ social. En témoignent de façon particulièrement frappante les questions soulevées à l´infini par l´essor des biotechnologies (procréation médicalement assistée, transplantation d´organes, voire clonage, etc.) et relevant de ce qu´on appelle la bioéthique. Parce que ces possibilités inédites font surgir de multiples

leucémies, les maladies du foi, les maladies de Parkinson et d’Alzheimer, le diabète et même le cancer. Mais malgré ces promesses thérapeutiques, les recherches scientifiques sur les cellules souches embryonnaires soulèvent de sérieux problèmes éthiques. Tout porterait alors à croire que nous sommes en face d’une avancée de la science, mais plutôt une régression de la conscience. Nous sommes aujourd’hui témoins d’une humanité ayant fait des progrès rapides et spectaculaires dans les différents domaines

accord avec la vertu. La vie humaine n’est donc une vie heureuse que si elle reste soumise à ce contrôle rationnel, sans quoi elle ne serait pas la vie bonne pour l’homme. Toutefois il est important de s’interroger sur la question de la vertu. Dans Ethique à Nicomaque, Aristote affirme que « le bien pour l’homme consiste dans une activité de l’âme en accord avec la vertu ». Cette coordination est possible dans la mesure où l’homme a la particularité de mener une vie pratique de la partie « rationnelle »