1 Et 2eme méditation de decarte
Dans la 1ère méditation, Descartes doute sévèrement des sens et tout ce qu’ils nous font percevoir du réel. Il prétend par contre, que ce même doute n’a pas lieu d’être pour les choses proches et faciles à percevoir, exemple le fait de prendre un crayon, de se brosser les dents, d’être assis sur une chaise, etc. Or, il affirme ensuite que les «insensés» se trompent même sur les choses proches et faciles à percevoir puisque leurs sens leurs jouent des tours. Mais on ne peut pas partir de cela pour douter du sens puisque se sont des «fous».
Par contre, lorsqu’on dort et qu’on rêve, il arrive souvent de confondre la réalité de la rêverie. Il nous semble, dans nos rêves, que tout est vraisemblable même les choses les plus bizarres qui soient. On ressent la même sensation de clarté et de vraisemblance que dans la réalité et finalement on prend conscience qu’il s’agissait d’un rêve qu’au moment du réveil. Or, Descartes soulève le fait qu’il n’y ait pas d’indices qui pourraient nous faire distinguer l’état de veille de l’état de sommeil. Par conséquent, nos sens sont mis en doute, car ce que nous croyons être la réalité pourrait n'être qu'un rêve.
Par la suite, les mathématiques qui semblent être d’une vérité implacable sont mis en doute par l’hypothèse du Malin Génie. Il faut comprendre ici, que le Malin Génie est