Cher collège,
Notre patron m’a informé l’autre jour que l’important client dont je suis responsable du dossier va déménager au Québec. Celui-ci souhaite que je poursuive mon travail sur son compte, ce qui m’oblige donc de changer de succursale. En tant qu’un CPA, j’ai le devoir d’exécuter ma tâche de professionnel et je n’ai aucune raison de refuser cette demande. De plus, le code déontologie des comptables professionnelles agréées ne le permet pas à moins d’un cas valable. Par contre, cela va à l’encontre de mon bien-être familial, car je dois quitter ma famille pour mon travail. Comment puis-je faire pour garder la valeur à laquelle je tiens beaucoup, tout en respectant les normes comptables?

Selon la théorie éthique de Kant, une action morale est une action que nous posons dans le but d’obéir à l’impératif catégorique et à l’impératif pratique. Une action est bonne si elle est guidée par de bonnes intentions, de bonnes maximes d’action. L’impératif catégorique nous fait choisir que des gestes, dont la maxime d’action, puissent être considérés comme une loi universelle. Cela signifie que si nous ne voulons pas que notre acte soit répété par d’autres monde, nous ne devons pas nous accorder une autorisation spéciale de le faire, car cela est un geste égoïste de notre part. L’impératif pratique de sa part signifie la dignité humaine. Il exige que nous respections l’humanité en nous et dans les autres. Nous devons nous comporter dignement en toutes circonstances et respecter la dignité des autres. Même si la recherche du bonheur personnel n’est pas considérée juste dans la théorie de Kant, celui-ci dit que la meilleure manière d’être digne d’être joyeux est de nous concentrer sur la notion des deux catégories de devoirs qui sont les devoirs stricts et les devoirs larges.

Si je me fie à cette théorie qui dit que tous nos gestes doivent être de bonne maxime d’action et qu’il doit respecter la loi universelle. Je dirai que la maxime d’action de mon dilemme serait