Abibala
Très Sage,
Grands et Sévère Inspecteurs,
Et vous tous mes frères,
ABIBALA
Discussion sur ABIBALA ; quelle problématique pour traiter le problème posé par la question de départ.
Doit-on rester théorique, excellant dans la rhétorique, ou concret et exemplaire comme le souhaite la
Franc-Maçonnerie ...
En préliminaire, je remercie le Suprême Commandeur du Grand Chapitre Français d’avoir écrit la Sagesse du Rite Français, livre de chevet où je puise de nombreux enseignements, aussi avec l’aide de cette maxime
« Tout prendre au sérieux, mais rien au tragique ». Comme nous le verrons l’Homme temporel passe avec ses vanités, mais l’Esprit demeure pour la continuité.
En incipit constatons que certains esprits considèrent le mythe d’HIRAM dérangeant, voire choquant comme d’autre le pense de la BIBLE. Regardons plus tôt un mythe de réalité, miroir de notre existence. Mythe où est décrite la vérité crue, la triste vérité, la simple vérité comme l’écrivait Charles Péguy. Bien sur, on ne peut demeurer sans réflexion à la réception de notre mot du compagnon : mot de passe SHIBOLET, avec ses 40 000 morts dans la journée. Ensuite notre élévation où nous somme mort et ressuscité, puis persévérant, la cérémonie de réception au premier Ordre où nous sommes le bras vengeur. Tout est violence et mort. On ne peut terminer cet incipit sans une touche d’humour dans cette noirceur en pensant qu’un MYTHE est à l’attention des Mythos mités. Mais la définition de Mythos se traduit par « le propre d'en parler ».
Disant pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ?
L’objectif de ces faits est donc atteint, nous en parlons.
Là, le Franc-maçon voit l’intérêt des symboles et l’usage de ceux-ci, encore plus au grade de sagesse, où il se doit d’ouvrir son compas et s’assurer de l’aide de sa règle, s’appuyant sur ses rituels pour comprendre.
Personnellement je me rends compte que si l’histoire organise notre passé, la Franc-Maçonnerie organise notre