Acte II, scène 5 : la leçon de chant (54mn55 à 58mn15) : texte 1/12 pour l’oral du bacCléante . […] Belle Philis, c’est trop, c’est trop souffrir, Rompons ce dur silence, et m’ouvrez vos pensées, Apprenez-moi ma destinée, Faut-il vivre ? Faut-il mourir ? Angélique – ( répond en chantant .) Vous me voyez, Tircis, triste et mélancolique, Aux apprêts de l’hymen dont vous vous alarmez, Je lève au ciel les yeux, je vous regarde, je soupire, C’est vous en dire assez.Argan …afficher plus de contenu…

Je vais voir. (Elle va voir. Elle ouvre et revient.) Personne. Elle se rassoit. M. Martin – Je vais vous donner un autre exemple…Sonnette. M. Smith – Tiens, on sonne. Mme Smith – Ça doit être quelqu’un. Je vais voir. (Elle va voir. Elle ouvre et revient.) Personne. Elle revient à sa place. M. …afficher plus de contenu…

Le poète est semblable à Midas après que celui-ci se soit rendu compte de sa malédiction : il transforme tout ce qu'il touche. Le poète souffre donc de son pouvoir poétique. Pour Baudelaire, être poète est une malédiction. Volte : Processus alchimique malheureux : la construction transitive a pour objet direct des éléments connotés méliorativement (« or », « paradis ») et pour objet indirect, c'est-à-dire le résultat, en éléments connotés péjorativement (« fer », « enfer »). Le présent de l'indicatif est interprétable comme un présent de vérité générale : cela a toujours été comme cela, et cela le sera toujours. C'est l'essence de l'art du poète que de tout transformer sans que rien de valable ne sorte. L'enjambement entre le premier