Affirmer le déterminisme est ce nier la liberté?
Si c’est vrai, alors nous ne sommes pas responsables de nos actes.
Donc Affirmer le déterminisme est-ce nier la liberté ?
Il semble donc important d’essayer d’accorder les termes de « liberté » et de « déterminisme » qui apparemment semble contradictoire. Ce que nous serons amenés à remettre en question, c’est soit la notion que nous avons de la liberté : nous voulons en effet qu’elle soit absolue soit la notion de déterminisme : est-il, lui aussi absolue ? Il n y’a pas un déterminisme par exemple comme une influence ?
Soit l’homme réalité appart donc il croit en le libre arbitre?
Soit l’homme intègre le monde donc il ne peut pas être libre.
Avons nous un libre arbitre c'est-à-dire un pouvoir de choix ?
Lorsque je prends une décision je délibère. Dans l’expérience symbolisée par une balance dans l’opinion commune, il semble que j’ai le choix, j’hésite entre plusieurs possibilité. Cependant comment savoir si l’option que j’ai choisie est vraiment choisie ? Ne suis-je pas toujours incliné d’un côté plus que de l’autre ? Pour mettre à l’épreuve ma liberté, il faudrait trouver une situation dans laquelle mon libre arbitre serait mis en évidence. Une telle situation apparait lorsque j’hésite et que je n’ai pas plus de raison de choisir un parti qu’un autre. Si je parviens à trancher malgré l’équivalence des motifs, ce sera lors parce que j’ai un pouvoir de choix. Jean Buridan imagine une situation de parfaite équivalence des motifs. Imaginons un âne à la fois affamé et assoiffé et situé à égale distance entre un seau d’eau et un seau d’avoine. C’est une situation d’indifférence puis que l’animal n’a