Depuis le début des temps, la femme a toujours été perçue comme une idiote inférieure à l’homme. En effet, Ève fut tentée par la pomme du diable et condamna ainsi les femmes à un jugement éternel. Ensuite, au moyen-âge, nous avons commencé à questionner si les femmes avaient des âmes. Mais à travers les époques, les femmes n’ont pas seulement prouvé qu’elles avaient des âmes, mais qu’elles étaient, sont et seront toujours égales à l’homme. Dans le roman d’Yves Thériault, Agaguk, Iriook, la femme du personnage principal, évolue beaucoup au fil du roman. Passant d’objet sexuel et quasiment esclave à une femme forte et indépendante. Au travers du roman, Iriook devient très indépendante de plus, elle prouve à Agaguk qu’elle est indispensable à la survie de sa famille et de son époux pour finalement passer du statut d’ « objet » à « femme »,. En premier lieu, comme il a été mentionné ci-haut, les femmes ont souvent été vues comme un objet au lieu d’un être humain avec des sentiments et une âme. Par contre, quelques une d’entres elles, avec une tête de mule et des morales dur comme fer, ont pu changer leur situation et dans certains cas, les situations des gens autour d’eux. Une femme qui serait parfaite pour démontrer ceci, serait le personnage Iriook, la femme d’Agaguk, dans le roman du même nom. Dans le roman Agaguk, les différentes épreuves qu’Iriook traverse l’aide à devenir une femme forte et indépendante. Lorsque le livre commence, on voit qu’Iriook est nerveuse à l’idée de vivre avec Agaguk, seule. « C’est toi qui as tiré, Agaguk? - Oui. – Pourquoi? - J’ai tué un loup. , Elle eu un soupir satisfait. » Premièrement, au début du roman, une tempête de vent s’acharne sur la toundra ce qui fait fâcher Agaguk, Iriook voit donc un côté de lui qui lui est inconnue.
Agaguk se roula par terre, atteignit des deux mains un séchoir d’os de phoque. D’un geste fou il le brisa en cent morceaux. Et il hurlait sur une note un son de rage, extraordinaire, nouveau pour