Ainsi parlait zarathoustra
Le prologue
Comparaison avec le soleil, Z (Zarathoustra) qui était ermite, doit descendre parmi les hommes, comme le soleil descend dans les profondeurs. Rencontre avec un vieillard, qui affirme que les hommes sont imparfaits, c’est pourquoi il ne les aime pas, et loue Dieu. Z veut apporter la sagesse aux hommes et leur faire un cadeau (nouveau Prométhée ?) quand il a quitté l’ermite, Z déclare « dieu est mort », il ne l’a pas dit avant pr ne pas priver l’ermite du sens de son existence. Nietzsche se fait le penseur de « la mort de Dieu ». Cette vision d'un monde sans horizon, sans espoir, sans haut ni bas, et qui commence progressivement à chavirer. Par cette mort symbolique, plus de référence possible, plus le moindre réconfort : où trouver des explications à sa douleur ? Comment redonner du sens à la vie ? Z va en ville et déclare qu’il ne faut pas croire ceux qui parlent d’espoir supraterrestre, il faut rester fidèle à la terre, l’impénétrable n’a pas + de sens que la terre. Dieu n’est plus 1 finalité, dc il faut se fixer un but immanent qui passe par son propre dépassement. Z enseigne le surhumain, l’homme doit être surmonté. Z affirme que l’âme ne doit pas regarder le corps avec dédain (contre Platon), sinon elle devient hideuse ! L’H est une corde tendue entre le surhumain et la bête. L’H est un pont et non un but. Z aime les h qui annoncent le surhumain. La foule rie, décalage entre Z et les h. Z parle du dernier H, pour lui ce qu’il y a de + méprisable. Dernier H vit + longtemps, ni pauvre, ni riche, égaux, prudence, réconciliation, heureux. La foule veut être semblable au dernier H. pas compris. Le danseur de corde tombe et agonise, Z lui dit qu’il n’ y a rien au –delà. Z veut enseigner le sens de son existence : le surhumain. un bouffon prévient Z de sa mort prochaine, les H le haïssent, et surtt les bons et les justes. Z comprend qu’il ne faut pas parler