allemand
La quasi-totalité des députés UMP ont quitté mardi l’hémicycle en pleine séance de questions au gouvernement, furieux d’une attaque de Manuel Valls contre leur collègue parisien Claude Goasguen, qu’il a accusé de venir de l’extrême droite. « M. Goasguen, vous en venez, vous, de l’extrême droite », a lancé le ministre de l’Intérieur au député de Paris, en réponse à une question de Yannick Moreau sur les violences de samedi à Nantes et un présumé laxisme des forces de l’ordre face aux opposants au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.
A la droite, le ministre de l’Intérieur a encore clamé : « Contrairement à vous, nous ne sommes complaisants avec personne, vous, vous avez été complaisants avec ceux qui s’en prenaient aux valeurs de la République » lors des manifestations contre le mariage homosexuel.
Ses propos, surtout sa phrase contre Claude Goasguen, ont déclenché une bronca sur les bancs de l’UMP, que le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a vainement tenté d’interrompre.La quasi-totalité des députés UMP ont quitté mardi l’hémicycle en pleine séance de questions au gouvernement, furieux d’une attaque de Manuel Valls contre leur collègue parisien Claude Goasguen, qu’il a accusé de venir de l’extrême droite. « M. Goasguen, vous en venez, vous, de l’extrême droite », a lancé le ministre de l’Intérieur au député de Paris, en réponse à une question de Yannick Moreau sur les violences de samedi à Nantes et un présumé laxisme des forces de l’ordre face aux opposants au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.
A la droite, le ministre de l’Intérieur a encore clamé : « Contrairement à vous, nous ne sommes complaisants avec personne, vous, vous avez été complaisants avec ceux qui s’en prenaient aux valeurs de la République » lors des manifestations contre le mariage homosexuel.
Ses propos, surtout sa phrase contre Claude Goasguen, ont déclenché une bronca sur les bancs de l’UMP, que le président de l’Assemblée