Acte 1 :

1. Le compte camoufle son identité à Rosine puisque étant noble, il ne veut pas qu’elle l’aime pour son titre de noblesse mais bien pour ce qui est réellement. Dans le vers suivant, on voit à quel point il croit en cette amour en lui cachant son identité sous un déguisement : «Il est si doux d’être aimé pour soit même ! Et si je pouvais m’assurer sous se déguisement… Au diable l’importun!» De plus, une autre citation le démontre clairement: «M. figaro! Je n’ai qu’un mot à vous dire : elle sera ma femme; et si vous servez bien mes projets en lui cachant mon nom..»

2. En effet, Figaro et le comte Almaviva se connaissait déjà lors de leur rencontre devant la maison de Bartolo. Ils se seraient rencontrés à Madrid puisque figaro étais le Vallet du compte.

Acte 2 :

3. Rosine lui remet une lettre annotée : « en toute amitié» puisqu’elle ne veut pas lui faire de fausses idées, étant donné que pour elle une simple lettre à bien du pouvoir et pourrait suscitée de fausse idées de la part du comte.

4. Figaro est celui qui va mettre au courant Rosine à propos de son plan de mariage. Atterrer par l’idée que Bartholo veuille la marier, elle se met à pleurer en espérant que ce mariage n’est pas lieu puisqu’elle est déjà répugnée à l’idée de ce lié d’amour avec un homme comme celui-là, étant donné qu’elle n’a aucun sentiment envers lui.

5. pour ne pas que Bartholo puisse être capable de lire la lettre du comte adresser à Rosine, elle va faire à croire à Bartholo que c’est une lettre que lui à envoyer son cousin. Pendant que Bartholo va fermer la porte, elle va changer la lettre du comte contre la vraie lettre de son cousin. Lorsqu’il revient, elle fait semblant de s’évanouir pour lui donner la chance de vérifier dans sa pochette. En allant vérifier la lettre il s’aperçoit qu’elle disait bien vrai, alors il la remet là comme si rien ne c’était passé. Quelque temps après, Rosine revient à ses esprits et demande à Bartholo (une fois qu’elle