Analyse de Claude Levi Strauss, Race et Histoire

711 mots 3 pages
Claude LEVI-STRAUSS Race et Histoire 1952

1) Le plan du texte :
De la ligne 1 à la ligne 7 : L’auteur donne un premier argument en expliquant que l’attitude la plus ancienne dans une situation inattendue est de répudier toutes les formes culturelles qui sont éloignées des nôtres.
De la ligne 7 à la ligne 25 : L’auteur donne un exemple à ces répulsions que l’on peut avoir en citant des phrases qui ont pu être dites pour qualifier ces attitudes étrangères. Il explique alors que dans l’Antiquité les Grecques appelaient « barbares » tous ceux qui n’avaient pas la même culture, la même façon de faire. Les occidentaux quant à eux, utilisaient le mot « sauvage ». Ces deux mots se réfèrent à la nature, à la vie animale. On constate ici que le fait de les mettre dans un contexte primitif permet de mettre alors leur civilisation comme « civilisée », comme supérieure.

De la ligne 26 à la ligne 40 : L’auteur donne un deuxième argument en montrant que cette attitude de répulsion peut donner lieu à des actes barbares et sauvages. Puisqu’on rejette tellement cette différence qu’on va à se demander si cet homme est « Homme », s’il est bon. On peut aller jusqu’à le privé de sa réalité.
De la ligne 40 à la ligne 48 : L’auteur prend alors l’exemple de la rencontre des Espagnols et des Américains au XVe siècle. Chacun des deux est persuadé de représenté l’humanité. Du coup les Espagnols se demandent si les Indiens sont des hommes ou des animaux, et les Indiens en retour se demandent si les Espagnols ne sont pas des divinités. Ce qui les pousse à les noyer pour voir si leurs corps se purifiaient ou non, et c’est là que nous arrivons à des actes barbares.

Enfin, de la ligne 49 à 57 l’auteur arrive à sa thèse : « le barbare, c’est d’abord l’homme qui croit à la barbarie ». C'est-à-dire que c’est en faisant une différence et des discriminations entre les cultures qu’on devient barbare.

2) La thèse de l’auteur :

La culture étant ce qui caractérise l’homme, il n’y a

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