Facino Cane est une nouvelle d’Honoré de Balzac, publie comme une partie de La Comédie Humaine en 1845. L’histoire est caractéristique du réalisme dans le style d’écriture et dans l’intrigue. Cette nouvelle contient beaucoup de principes réalistes, comme l’objectivité, l’impersonnalité, un sujet qui n’est pas traditionnel, et un style d’écriture sans idéalisation. Dans cet œuvre, Balzac emploie des éléments de réalisme pour produit une intrigue fantastique et presque incroyable. En plus, il utilise deux narrateurs différents pour raconter l’histoire et explorer quelques thèmes complexes, tel que le mensonge d’apparence physique, la vue extra-sensorielle, et l’ironie tragique de la vie. La nouvelle, écrite à la première personne, a deux narrateurs distincts. Au commencement de la nouvelle, Balzac introduit le lecteur au narrateur primaire qui n’est pas nommé dans le texte. Il est un érudit et chercheur qui habite dans une petite rue de Paris. Plus tard, quand le narrateur primaire rencontre Marco Facino Cane, le narrative échange à la voix de Facino Cane, un vieux joueur de clarinette aveugle et pensionnaire des Quinze-Vingts, qui était autrefois un sénateur de Venise, riche et noble. Bien que la plupart de l’histoire soit racontée dans la voix de Facino Cane, l’encadrement de cette histoire avec l’histoire de l’autre narrateur permet Balzac d’écrire une intrigue plus complète. L’arrangement d’une histoire dans une autre histoire ajoute au réalisme de la nouvelle parce que dans la vraie vie, il y a beaucoup de niveaux des intrigues qui se chevauchent quand les gens se rencontrent et partagent leurs histoires.
Balzac, dans ce texte, utilise l’objectivité et l’impersonnalité. Le premier narrateur décrit les particuliers de sa « vie monastique » (Balzac, 6) et les gens misérables qu’il rencontre dans sa quartier assez pauvre. Balzac, par son narrateur, utilise l’objectivité en décrivant le cadre et les personnages de sa ville. Il place précisément l’endroit de sa