Analyse de la bete humaine d'emile zola
Les principaux thèmes de « La Bête Humaine » sont : -le monde cheminot -le monde judiciaire et ses erreurs -la psychologie et le crime ↔ pulsions meurtrières La Bête Humaine : Lantier ou le train lui-même ?
Denizet ↔ prétention, vanité : même après les aveux de Roubaud pour le meutre du Président Grandmorin, il préfère ne pas y croire, étant persuadé que seulement ses théories sont justes, et que tout le reste n’est qu’un vain mensonge !
Le dernier trajet du livre entraîne des soldats au front, c’est le train que conduit Jacques. On sait que jusqu’ici, le train filant représentait les folies meurtrières de Jacques, on peut donc croire que par le billet de ce trajet, on sait que les soldats sont envoyés à une mort certaine. C’est donc par une métaphore que Zola fait une critique de la guerre et du régime, qui oblige ses soldats à aller se battre dans une guerre déjà perdue.
Zola étudie également les caractères humains, en particulier la jalousie, jusqu’où peut-elle pousser ?
La jalousie rend fou, elle rend Roubaud violent, celui-ci dans sa crise