Lieu :
Service de chirurgie urologie à la polyclinique de la métropole Lilloise, dans la chambre 402 du patient située au 4ème étage aile SUD, vers 9h après le petit déjeuner.

Après avoir observé une première fois, puis sous l’œil avisé de l’infirmière, j’ai réalisé une perfusion de Perfalgan pour une patiente souffrante.

Cette situation a eut lieu dans la chambre 402 de Mme G, âgé de 61 ans. La patiente souffre de douleurs dans le bas du ventre.
Avant de préparer le matériel, je vérifie sur le plan de soin, la prescription médicale. Je désinfecte le chariot, désinfecte mes mains avec du SHA (Solution Hydro Alcoolique) et prends le matériel nécessaire. Je désinfecte mes mains avec du SHA, vérifie la date de péremption, l’intégrité des emballages et le nom du médicament. J’ouvre les emballages de façon aseptique du matériel : de la poche de Perfalgan et de la tubulure. Je retire les protections de la poche et de la fiche perforante de la tubulure, clampe la tubulure et insère la fiche perforante dans la poche de Perfalgan tout en préservant la stérilité de la fiche et du site d’insertion. Je presse donc la chambre compte-gouttes de la tubulure afin de la remplir à moitié pour ensuite purger la tubulure de la perfusion en maintenant la stérilité de l’extrémité de la tubulure dans un paquet de compresse imbibé d’alcool.
Avant d’entrer dans la chambre de la patiente, je procède à l’hygiène des mains avec du SHA et entre. Je signale à ma patiente le geste que je m’apprête à faire, pourquoi et avec quel médicament. J’accroche la poche de Perfalgan sur le pied à perfusion, prends une compresse imbibée d’alcool afin de maintenir le robinet de la perfusion, purge le robinet et connecte la tubulure au robinet.
En sortant de la chambre, je jette le paquet de compresse dans la poubelle et désinfecte mes mains.

Mme G était très souriante malgré les douleurs qu’elle ressentait.

Pour accomplir cet acte avec Mme G, j’ai mobilisé un savoir théorique afin de