Analyse de situation

Description :

Mme I est une patiente autonome dans l’EHPAD elle est atteinte de diabéte et récement d’une possible infection urinaire suite aux symptômes qu’elle decrit. Elle est entré dans l’etablissement pour un raprochement famillial suite au décés de son mari.Accompagné de l’infirmiére, nous allions solliciter Mme I dans le but d’efetuer une prise de sang prescrite pas son médecin afin d’affirmer la théorie de l’infection.
Cette prise de sang a été effectuée dans la chambre de la résidente dans la matinée. Les chambres de mon établissement d’accueil étaient exigus et comporté beaucoup de mobilier en plus des lit médicalisé prenant un large espace, de plus l’ancienneté du bâtiment ne permettait pas une ergonomie favorable.
Mon infirmière tutrice m’a demandé si je souhaitais pratiquer cette prise sanguine en me signifiant que la résidente était « dure à piquer ». J’ai quand même accepté de partiquer l’acte sous la surveillance de l’infirmiére.
La résidente était assise au fauteuil ci-joint a sont a son lit. L’agencement de la pièce ne permettait seulement d’accéder face a la résidente rendant les soins difficiles. J’ai préparé au préalable un garrot désinfecté, un seul tube visant a prélever l’INR de la résidente, l’aiguille, la tulipe, une lingette désinfectante ainsi qu’un pansement et un bout de coton le tout placé dans une coupelle entiérement désinfacté selon le protocole. Je me suis assis sur le lit de la résidente, et j’ai placé le garrot sur son bras droit étant le seul facilement accéssible. Ensuite j’ai désinfecté la zone ou j’allait piquer avec ma lingette, puis après avoir enfiller des gants a usage unique et « palpé » la veine de la résidente, j’ai piqué la résidente et procédé au remplissage complet du tube. Ensuite, après avoir enlevé le garrot, j’ai retiré l’aiguille lentement en mettant rapidement le bout de coton pour faire pression sur la veine et éviter les saignements. J’ai