analyse de situation refection de pansement d'un escarre sacré
Arrivée aux postes de soins, je mets mes déchets dans les poubelles appropriées, désinfecte mon chariot, me lave les mains et fais mes transmissions écrite dans le dossier informatique du patient et orale à l'équipe soignante.
Observation et étonnements.
J'ai été impressionné par la profondeur de la lésion cutanée. Je demandais a la patiente, tout au long du soin ce qu'elle ressentait. Je devais faire face à la douleur. Elle avait beaucoup d'appréhension, et je ne m'attendais pas à une telle réaction de sa part. A peine je la touchais qu'elle criait. Lors du premier semestre, la notion de la douleur a fait office d'un TD. Les questions auxquelles je me posais sont : Comment gérer la douleur ? Comment y faire face ? Finalement, ce questionnement m'a apporté d'un point de vu théorique, mais en pratique je me rends compte que c'est une autre dimension autrement dit, tout dépend de l'endroit, du moment, comment, avec quel patient ce déroule le soin.
J'ai également étais surpris de l'odeur que la plaie dégageait. Même si l'infirmière m'avait préalablement prévenue, je ne m'attendais pas à cela. La plaie suintait. ,
Contrainte particulière
La contrainte qui se présentait à moi, était que c'était la première fois que je voyais un escarre. Dans le service, j'ai accès à Internet et il y avait à disposition un classeur dans lequel on pouvait voir tous les types d'escarres différents ainsi que les pansements adéquates pour chaque type. L'infirmière qui m'encadra m'a laissé un petit moment pour mes recherches avant d'effectuer le pansement. Il est indispensable avant d'exercer n'importe quels soins invasif ou non, de savoir de quelle maladie s'agit-il, est-ce contagieux, y a-t-il des effets secondaires. Toutes ces informations sont nécessaires