Analyse de "tant que mes yeux" par louise labbe
L’épouse de Labé était Ennemond Perrin, un riche marchand de cordes. Grâce à son mari, elle était capable de créer une grande bibliothèque plein de livres pendant un temps où les livres étaient rares. C’est dans cette bibliothèque qu’elle à découvert son amour pour la littérature.
Labé était active dans le cercle littéraire Lyonnais, avec les autres poètes influents. Les œuvres de Labé était publiées en 1555, le recueil avait aussi les poèmes écrit en son honneur par les poètes de son cercle. En 1565, Labé est tombée malade. Elle a succombé à son maladie en 1566. « Tant que mes yeux » est un sonnet écrit par Louise Labé. C’est le sonnet XIV de son texte « Evvres ». Le poème était publié en 1555 dans la période de la Renaissance. Ce sonnet est un poème qui associe la perte d’amour à la mort. Il exploitant les thèmes du temps qui passe et de la nécessité du désir d'amour pour pouvoir vivre.
Les premiers deux quatrains évoquent le désir de vivre, ils démontrent que L’amour fait la vie. Puis en opposition, les deux tercets expriment le souhait de mourir, lorsque l'amour sera impossible, l'âge venu. Alors le narrateur pense que l’amour est la chose qui fait la vie, et quand ont n’as pas d’amour, il n’y à point de raison de vivre. Il démontre que si ont ne peut pas déclarer et participer dans l’amour, le plus beau jour sera noir, et la mort est la seule chose qu’elle veut.
Le premier et la troisième strophe parlent des choses physiques que le narrateur fait : « pourra ma voix et un peu faire entendre », « Quand mes yeux je sentirai tarir » etc. Le deuxième et le quatrième strophe parle des