Analyse des différentes descriptions faites par arnolphe (ecole des femmes) durant ses monologues
Arnolphe: V809 : «Ainsi que je voudrai, je tournerai cette âme ; comme un morceau de cire entre mes mains elle est, et je lui puis donner la forme qu’il me plaît »
Agnès :- V810 : « Comme un morceau de cire entre mes mains elle est, et je lui puis donner la forme qu’il me plaît »
-V813 « Son trop d’innocence »
Horace : - V833 : « Mon étourdi »
-V834 : « Par son trop de caquet »
Acte III-Scène 5
Arnolphe : V977 : « Comme il faut que devant lui je me mortifie ! »
V978 : « Déplaisir cuisant »
V985 : « C’est mon désespoir et ma peine mortelle. Je souffre doublement dans le vol de son cœur»
V989 : « J’enrage de trouver ma prudence trompée »
V991 : « Me voilà mort »
V994 : « Ciel ! Puisque que pour un choix j’ai tant philosophé »
V998 : « Et cependant je l’aime après ce lâche tour »
V1000 : « Sot, n’as-tu point de honte ? Ah ! je crève, j’enrage »
Agnès : -V979 : « Pour une innocente un esprit si présent »
-V980 : « Traîtresse »
-V990 : « Amour libertin »
-V993 : « Ce qu’on aime »
-V996-997 : « Elle trahit mes soins, mes bontés, ma tendresse »
Horace : « Je vois qu’il a, le traître, empaumé son esprit »
Acte IV-Scène 1 V1008 : « J’ai peine, je l’avoue, à demeurer en place, et de mille soucis mon esprit s’embarrasse »
V1020 : « J’étais aigri, fâché, désespéré pour elle »
V1021 à 1023 : « Et cependant jamais je ne la vis si belle, jamais ses yeux aux miens c’ont paru si perçants, jamais je n’eux pour eux des désirs si pressants »
V1025 : « Si de mon triste sort la disgrâce s’achève »
V1027 : « Avec tant de tendresse et de précautions »
V1029 : « J’en aurai chéri la plus tendre espérance »
V1030-1031 : « Mon cœur aura bâti sur ses attraits naissants et cru la mitonner pour moi durant treize ans »
Agnès : -V1012 : « Traîtresse »
-V1016 : « Elle n’est point émue »
-V1023 : « Jamais je ne la vis si belle »
Horace : -V1011 : « Godelureau »
-V1032 : « Afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache »
-V1035 : « Petit