Analyse du moise de michel ange article de freud
Description et analyse du texte
Introduction
Freud entreprend à travers cet article une étude de conscience et des phénomènes inconscients, corrélatifs à la création et à la contemplation de l’œuvre d’art.
Il entre en matière en déclarant qu’il n’est pas un spécialiste, « un vrai connaisseur » d’art comme il dit. Il commence par faire savoir que ses préférence en matière d’œuvre d’art se porte sur la littérature et la poésie, et plus rarement sur les arts plastiques. Cependant, son article nous parle du Moïse de Michel ange, œuvre qui produit en lui une émotion dont il ignore la provenance.
A partir de ce fait, il impose une vérité universelle, un sentiment qui arrive à tout le monde et que personne ne peut expliquer véritablement. Il nous dit que ce phénomène n’a pas été à sa connaissance remarqué ni convenablement décrit par les esthéticiens de son époque. Il poursuit en disant que cela ne vient pas du manque d’analyse et d’éloge des œuvres faites par les connaisseurs. Pour lui, dans leurs écrits les esthéticiens exprime une opinion différente pour une même œuvre. Face à ses avis divergents, Freud se pose la question si cela vient de l’intention de l’artiste. Pour lui, l’appréhension d’une œuvre ne vient pas d’une intelligence compréhensive. Dans ce passage de l’article, Freud nous pose donc la question suivante : pourquoi les intentions de l’artiste ne sont telles par inscriptible sur le papier comme tout autre manifestation psychique de la vie ? Le sens et le contenu de l’œuvre permet une interprétation des intentions de l’artiste.
Cependant les interprétations sont comme nous l’avons dit précédemment nombreuses et variées. Pour illustrer son propos Freud prend pour exemple la pièce de théâtre Hamlet de Shakespeare, et la « psychanalyse » de cette œuvre. Le complexe d’Œdipe en émerge, cependant les interprétations de l’œuvre sont quand même diverses et impossible à concilier. Ses interprétations ne nous