Analyse du vidéogramme de claudie gagnon
Analyse :
Claudie Gagnon s’est inspiré de plusieurs toiles réalisées dans le passé par de nombreux artistes pour réaliser ses tableaux vivants, elle les a légèrement transformés pour leur donner un nouveau sens. Il y a en huit précisément. Voici les sois disant tableaux :
-DAUMIER, honoré, Les Saltimbanques, 1868.
Daumier est l’homme le plus important dans l’histoire de la caricature, Claudie Gagnon, c’est servit de se statue de caricature pour représenter son tableau vivant. À chaque coup sur le tambour, la femme en arrière-plan grossit de plus en plus et l’homme lui, grandit de plus en plus. Les Saltimbanques sont une troupe d’animation interactive constituée de gens au pris avec des déformations physiques, mais Claudie Gagnon les représente normaux au début du tableau et à la fin on pourrait croire que la femme va exploser et que l’homme va partir comme un élastique dans le ciel.
-DIX, Otto, To beauté, 1922.
Le téléphone dans la main du personnage central, un autoportrait de l’artiste, montre qu’il se comprend comme un journaliste, un transmetteur d’informations, entièrement orienté vers les choses et les événements réels. Mais, compte tenu du reste du tableau, on peut difficilement croire à une toile réaliste. Claudie Gagnon a ridiculement représenté les personnages de cette toile, comme exemple elle a utilisé un homme de couleur blanc et lui a peint la peau d’un noir foncé pour représenter l’homme à la batterie. Le fond dans le tableau de Claudie Gagnon est dessiné grossièrement et ne comporte que deux couleurs. Ta trame sonore de ce tableau est la jungle, on y entend des singes crier.
-GRECO, El, Saint-Véronique, 1579.
L’histoire de cette toile est le jour de la crucifixion de Jésus, Saint-Véronique ne pouvait pas supporter de voir Jésus dans un tel état, elle lui a donc essuyé le front avec une serviette et le visage de Jésus est miraculeusement apparu sur