Analyse d’un texte littéraire à compléter sur le conte « Le petit Poucet » de Charles Perrault (10 %)

Consignes :

Ce travail se fait à l’ordinateur ;

Vous me remettez une copie papier de votre travail en classe. Vous me le donnez directement, en personne ;

La pertinence, la clarté, la justesse du vocabulaire et la cohérence seront évaluées ;

Répartition des points :

1. Titre = /1
2. Phrase pour intégrer la citation = /0,5
3. Explication = /2
4. Explication = /2
5. Conclusion partielle = /0,5
6. Lien = /0,5
7. Insertion exemple + exemple = /1
8. Explication = /2
9. Conclusion partielle = 0,5

Attention : aucun « emprunt » ou plagiat ne sera accepté;

Complétez la dissertation en insérant votre texte aux endroits prévus (les champs en bleu) afin de former un texte suivi. Les phrases doivent être bien liées. Veuillez identifier (surlignement au marqueur) ce que vous ajoutez ;

Portez attention à la langue : jusqu’à moins 30 % en raison des fautes.
Propos : Il ne faut pas se fier aux apparences, car ceux qui semblent les plus faibles s’avèrent parfois être les plus forts.

1. Titre signifiant et original
Introduction
(s. amené) La tradition orale française est riche d’histoires racontées aux enfants. Forte de leçons, cette tradition offre par le genre du conte des leçons de vie par ses personnages colorés et, souvent, dotés de pouvoirs magiques. (s. posé) Par son propos, le conte populaire « Le petit Poucet 1», mis à l’écrit par Charles Perrault à la fin du XVIIe siècle, montre qu’il ne faut pas se fier aux apparences, car ceux qui semblent les plus faibles s’avèrent parfois être les plus forts. (s. divisé) En effet, ceux considérés comme des « petits » exploitent avantageusement leurs sens. Et même, leurs exceptionnelles qualités psychologiques leur octroient un pouvoir qui assure leur survie.

Développement
(Ip1) Le personnage d’emblée perçu comme faible utilise tous ses atouts, et particulièrement de ses compétences liées à ses sens. (is1)