Introduction

Dans des années où les Québecois sont à la recherche de leur identité, Michèle Lalonde écrivit un poème intitulé Speak White. Un poème voyangeant librement entre l'anglais et le français à travers des strophes déconstruites et aléatoires. Tout au long de ce poème, Lalonde insulte ouvertement les Québecois en démontrant tout les pouvoirs que les Anglais possèdent. En gros, elle nous fait voir le constraste entre le pouvoir anglais et la soumisions québécoise dans les années 70. L'analyse suivante de ce poème exposera certains éléments qui, d'un côté démontre le pouvoir anglais et de l'autre la soumission québecoise.

Axe 1 : Le pouvoir anglais

Dans le poème Speak White de Mohèle Lalonde, on peut voir que le pouvoir anglais domine les Québécois. En effet, on peut obsever cette idée sur plusieurs aspects, tels que l'aspect social et culturel.

Autan dans le titre que dans le poème, l'expression Speak White est très présente. En effet, on la retrouve exactement quinze fois dans tout le poème. La redondance de l'expression montre que même un poème québecois arrive à se faire surplomber par l'anglais. Avec son cliché incluant les allemands et les étoiles jaunes, Lalonde compare les Québécois aux Juifs et les Anglais aux Allemands pendant la Deuxième Guerre mondiale et donc nous montre que les Anglais on le contrôle sur la population du Québec. L'énumération qui relie la langue à l'emploi, disant que les anglais on la bonne langue pour donner des ordres et contrôler les employers subtilement considérés en tant que Québécois. Encore une autre preuve de domination des Anglais dans ce poème. On peut également observer, dans la répétition stylistique où les mots sont caractérisés lacrymogènes et matraques, que Lalonde voulait amener un sentiment de soumission au lecteur et montrer la domination anglaise au Québec.

Tout ces preuves donc démontrer que, dans ce poème, les Anglais ont le pouvoir dans la société québécoise.

Dans son