Analyse littéraire tour du monde en 80 jours
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Le tour du monde en 80 jours écrit par Jules Vernes, ce situe au 19e siècle une époque importante pour l’industrialisation de l’Angleterre. Lors de cette aventure les personnages Phileas Fogg et Passepartout font une course contre la montre pour gagner un pari. Ceci étant dit, chaque seconde compte pour eux. Ils vont passer à travers de nombreuses péripéties, dont une au chapitre 26 ou on montre l’opposition entre un troupeau de bisons et un une locomotive. Ainsi cette péripétie va engendrer de diverses réactions chez les voyageurs du train. Qui auront de différents points de vue sur ce spectacle.
Premièrement, durant leur passage aux États-Unis, il y a une vive opposition entre la locomotive et les bêtes. Ensuite, le rail-road est subitement bloqué par le passage des animaux puis, le train et les buffles sont présentés comme des adversaires : « Ces innombrables armées de ruminants opposent souvent un insurmontable obstacle au passage des trains. » (Ch.26, p.180, l. 8-9) Dans ce cas, l’hyperbole fait référence au nombre imposant de bœufs que la locomotive doit faire face pour continuer son chemin, soit « […] innombrables armées de ruminants [...].» La locomotive ne peut pas être en retard selon son horaire prévu. Par contre, encore une fois les bêtes troublent le passage de la locomotive :
La machine, après avoir modéré sa vitesse, essaya d’engager son éperon dans le flanc de l’immense colonne, mais elle dut s’arrêter devant l’impénétrable masse. (Ch.26, p.180, 16-19)
Ici, l’hyperbole nous démontre l’exagération de la description du troupeau de bœufs en utilisant les mots : « immense colonne » et « impénétrable masse », pour amplifier l’image que peut avoir le troupeau face à la locomotive. Par la suite, on sait que le train ne fait pas le poids des bêtes et n’a aucune chance de gagner le combat contre les buffles : « C’est un torrent de chair vivante qu’aucune digue ne saurait