analyse marché automobile
En pleine reconstruction d’après guerre, le marché de l’automobile démarre sur les chapeaux de roue, cependant celui-ci cache bien son jeu. En 2013, il atteint des scores record désastreux de ventes et de fabrication. Cependant, nous possédons quasiment tous un véhicule.
I) L’OFFRE
Quantitative
En France, sur 10 voitures vendues, 9 sont issus de groupes français.
Avec des parts de marché correspondant à :
Pour les VP : 53.4% pour les constructeurs français et 46.6% pour les constructeurs étrangers.
Pour les VU : 66.4% pour les constructeurs français et 33.6% pour les étrangers.
Qualitative
Aujourd’hui on peut rencontrer plus d’une soixantaine de constructeurs en concurrence sur ce marché, mais le leader reste PSA (29.5%) suivi de tout prêt par son challenger Renault (23.9%).
Pour se distinguer, les fabricants poussent l’innovation et le design de plus en plus loin (personnalisation de sa Clio, de sa DS3 ou bien de son Opel Adam), depuis peu, certains même n’hésitent pas à explorer de nouveaux horizons qui étaient méconnus il y a quelques années comme les voitures électriques et/ou hybrides (Renault ZOE, Toyota PRIUS).
II) LA DEMANDE
Quantitative
Avec 2 155 000 immatriculations (soit une baisse de 5.6% par rapport à l’année passée), en 2013, 83% des ménages français sont motorisés, 30% d’entre eux possèdent deux véhicules sur ces statistiques, on constate que 67% d’entre eux possèdent des véhicules Diesel. En France, le prix moyen d’un véhicule neuf acheté est de 23 407€.
On distingue différents types de clientèle : . Particuliers (47.5%) . Entreprises et loueurs (30.9%) . VD et constructeur (13.4%) . Loueur CD : 8.2%
Qualitative
La légère reprise des achats de particuliers en décembre 2013 anticipant la hausse de la TVA et du malus n’as pas suffi à enrayer la chute des ventes. Cette baisse des ventes est due à la hausse d’impôts, la hausse du chômage et une incertitude