Analyse Poème

1452 mots 6 pages
Le Québec a vécu toutes sortes d’aventures au fil des siècles. Il a d’abord appartenu aux Amérindiens, puis aux Français et finalement aux Anglais. Aujourd’hui, le Québec à l’intérieur du Canada, gère ses propres crises. Avant les années 1960 (c’est-à-dire avant la Révolution Tranquille), les canadiens anglais dominaient le Québec. Ils étaient contremaîtres, directeurs, propriétaires et même politiciens. Ils possédaient la presque totalité du pouvoir. D’ailleurs, c’est en 1889 qu’à la Chambre des Communes, qu’Henri Bourassa s’est fait crier « speak white! » par des députés anglophones. L’expression « speak wite » était une insulte lancée par les canadiens anglais à des canadiens français qui parlait français dans un lieu public au lieu de parler anglais comme la convention l’exige. C’est pour confronter cette réalité que Michèle Lalonde a écrit son poème intitulé : « speak white ». Ce poème écrit en 1968 a été interprété pour la première fois lors du spectacle Chansons et poèmes de la Résistance. Le poème a un aspect moderne parce qu’il cherche à dire l’indicible et cherche à faire impression. Michèle Lalonde enregistre le présent dans son poème, le présent d’un peuple qui se sent oppresser et rabaisser. Dans cette analyse, je ferai un court résumé du poème de Michèle Lalonde, une présentation formelle et une discussion des procédés utilisés.

« Speak white » décrit principalement la condition des francophones au Canada. On y parle beaucoup de l’oppression des canadiens français par les canadiens anglais. Dans le poème de Michèle Lalonde, cette oppression se fait d’abord et avant tout par la langue. C’est pourquoi l’auteur reprend très souvent le titre du poème dans son texte : « Speak white » qui était une insulte dite aux canadiens français. Voici un exemple de la relation canadiens anglais-canadiens français telle que décrite par Michèle Lalonde dans ce cours extrait: un peu plus fort alors speak white haussez vos voix de

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