Analyse structurale de Manon Lescaut
Mots clés : Narration, narrateur, Anachronies, durée, fonction
Introduction
Dans l’analyse de notre corpus, L’Abbés Prévost, Manon Lescaut, 1731, nous analyser les procédés narratifs qui permettent de reconstituer le schéma du texte, et découvrir les relations entre narration, histoire et récit. Cependant, nous allons décrypter les éléments essentiels à notre analyse selon la théorie de Genette. Ce qui veut dire qu’on va trouver l’anachronies dominante dans notre corpus, et l’illustrer, et déterminer la fonction dominante du narrateur. Puis, la durée narrative et son effet.
D’abord, l’ordre :
Les anachronies sont les premières bases de notre analyse, elles comportent les analepses et les prolepses. Ce qui se vise dès l’incipit et l’ibid. Cela dit, dans l’histoire de l’Abbés Prévost, l’histoire commence par sa rencontre du Marquis avec Des Grieux qui va lui à son tour lui raconter son histoire avec Manon Lescaut, et se termine par la mort de Manon. Suivant ces informations, on pourrait distinguer deux anachronies, mais celles qui dominent c’est les analepses.
Les analepses :
Dès l’incipit, le narrateur emploi un retour en arrière, et c’est dans :
« Ce fut environ six mois avant mon départ pour l’Espagne » p15
Après une rupture temporelle, les analepses mémorielle étudiée* sont dominant dans ce récit
« Je puis vous dire(…)m’a servi jusqu'à présent de monture »p18
« il passa près de deux ans »p21
La première partie de l’histoire sera relaté dès l’incipit dans
« J’avais dix-sept ans (…) où j’arrivai avec moins d’inquiétude que je n’en était parti » p22-139
Deux ans après, « parce qu’étant à ma vingtième années »p143
« Après une navigation de deux mois »p226
Les analepses dominent et surviennent avant le début de l’histoire événementielle.
Du peut de prolepse qu’il y a : « Le chevalier des Grieux ayant employé plus d’une heure à ce récit, je le priai de prendre un